Lecture Analytique De « La Duchesse De Langeais » - Analyse Sectorielle - Agathepb
Histoire des treize – La Duchesse de Langeais LA COMEDIE HUMAINE – Honoré de Balzac IXe volume des œuvres complètes de H. DE BALZAC par Veuve André HOUSSIAUX, éditeur, Hébert et Cie, Successeurs, 7, rue Perronet, 7 – Paris (1877) Scènes de la vie parisienne HISTOIRE DES TREIZE est un roman qui comporte 3 épisodes sous les titres: Ferragus, la Duchesse de Langeais, La Fille aux yeux d'or. Duchesse de Langeais LA DUCHESSE DE LANGEAIS Dédicacé par Honoré de Balzac à Frantz Listz Analyse de l'oeuvre La Duchesse de Langeais est le plus étrange de ces épisodes parce que Balzac a mêlé à l'un des exploits les plus extraordinaires des Treize un règlement de comptes personnel. Malgré l'habileté du conteur, le mélange se fait mal et laisse une impression assez trouble. Le règlement de comptes se rapporte à un épisode très connu de la vie amoureuse de Balzac, son échec auprès d'Henriette de Maillé, marquise puis duchesse de Castries. Leur amitié avait commencé en 1832, Balzac avait été la rejoindre en Suisse au mois d'août de cette année, il devait faire avec elle un voyage en Italie.
- La duchesse de langeais chapitre 3.0
- La duchesse de langeais chapitre 3 film
- La duchesse de langeais chapitre 3 2
La Duchesse De Langeais Chapitre 3.0
Adapter ce passage au théâtre nécessiterait peu de transformations, tant Balzac l'a dramatisé, dans la forme du discours et dans sa progression. 1. Un dialogue avec des temps forts et du suspense L'essentiel de l'extrait se compose de répliques qui transcrivent au style direct la conversation entre la duchesse et Montriveau, comme au théâtre. La progression de l'entrevue, savamment composée, maintient l'intérêt du lecteur, avec une alternance de moments de détente et de temps forts: au début la conversation semble assez sereine (la duchesse « repouss [e] » le général « avec calme »); puis les répliques se font plus acerbes et la tension s'exacerbe quand Montriveau veut « s'élancer » et que « la duchesse sonn [e] ». L'arrivée de la servante désamorce la tension; l'intervention du narrateur qui analyse les pensées des personnages ménage une pause. Puis les répliques, brèves, accélèrent le rythme. Le défi que lance la duchesse (« je serais charmée de savoir… ») la met à nouveau en danger et l'on s'inquiète du rire de Montriveau, destiné à l'« effrayer ».
La Duchesse De Langeais Chapitre 3 Film
Mais, ces formules polies, dont l'avant-dernière est en fait une question rhétorique, prennent une nuance ironique dans leur bouche, témoignant de l'échange tendu qu'ils se livrent, implicitement polémique, substitut d'une violence physique contenue. Du reste, l'observation attentive décèle la violence latente de cet échange par la modalité et le rythme des phrases, les modes verbaux et la nature grammaticale des mots: - les exclamations jalonnent la conversation. La duchesse répète à la forme exclamative le "je veux" (ligne 6) de Montriveau et marque ainsi son indignation. Plus loin, elle répète à trois reprises l'interjection "Ah! " (lignes 9, 12 et 31) qui introduit ses répliques et marque son émotion. - encore plus fréquentes, les interrogations animent les répliques et lui donnent sa vivacité. Elles sont parfois rhétoriques ("Puis, que signifie votre je veux? ", ligne 6), parfois provocatrices ("Vous l'aurez? ", ligne 28), parfois menaçantes ("Et si,... je l'exigeais? ", ligne 11), parfois enfin elles marquent la surprise (ligne 28) ou la confirmation ("Vous ne me céderiez rien sur ce point?
La Duchesse De Langeais Chapitre 3 2
5 - le marquis de Ronquerolles est un « galant », un homme à femmes. C'est lui qui a encouragé Montriveau à se montrer plus exigeant vis-à-vis de la duchesse de Langeais.
Ce dernier souhaiterait « plus souple la chaine qui le liait » à Albertine, qu'il juge trop tendue. Il est « si jaloux » que cette relation le rend « malheureux » et le plonge dans un « néant », « une zone mobile d'incertitude et de vague ». Pourtant, malgré toute le souffrance que lui cause sa jalousie, celle-ci semble être le seul moteur de son amour, qui est né du « désir qu'elle suscitait chez les autres ». La relation amoureuse ne pourrait être donc ici que source de souffrance. L'amour du narrateur pour Albertine n'est nullement passionnel puisqu'il est uniquement issu d'un sentiment de jalousie. En conséquent, une véritable lassitude pèse sur la relation amoureuse qui devient pour cause douloureuse: « Par la souffrance seule, subsistait mon ennuyeux attachement ». Pour Solal aussi, l'ennui a pris la place de la passion. Celui-ci est traduit par les répétitions de « et toujours » et du mot « éternellement ». Solal qualifie de « tragique » sa situation et s'en lamente comme le montre l'emploi répétitif de l'interjection « Oh ».
Après la mort de sa mère en 1943, sa santé se dégrade. Jean Giraudoux meurt le 31 janvier 1944, à l'âge de soixante et un ans, selon la version officielle, à la suite d'un empoisonnement alimentaire, mais, plus probablement, d'une pancréatite. Quelques jours après son inhumation, qui a lieu le 3 février dans un caveau provisoire du cimetière Disert 48627 mots | 195 pages Dossier BALZAC H. de Balzac 3 Biographie 4 Une vie de galérien… fastueux 13 Le grand amour d'Honoré de Balzac 18 Oeuvre 21 Plan de la Comédie humaine 22 Un plan de lecture de la Comédie Humaine, à partir de la chronologie de l'intrigue. 25 La Comédie humaine 27 Le réalisme 29 Balzac théoricien 30 La planète Balzac 32 La passion selon Balzac 33 Etudes Philosophiques 35 Balzac à la carte 36 Quelques résumés rapides… 37 Le père Goriot (1834-1835) 39 Le père Goriot - Résumé (2) 41