Je Baise La Copine De Ma Fille
Se déshabiller et commencer les prélis devant Léa, ne pas savoir si elle va changer d'avis en cours de route et partir d'un coup.. On a donc pris quelques verres de vodka pour se mettre en ambiance, sans non plus être ivre, et on pu commencé. Elle nous a filmé pour 20 minutes de vidéo, et c'était vraiment excitant de coucher devant une autre fille. Je suis effondré, je viens d'apprendre que ma copine a eu une sexualité ultra débridée avant moi sur le forum Blabla 18-25 ans - 23-05-2022 13:01:45 - page 6 - jeuxvideo.com. Je regrette juste que ma copine ait refusé de se faire toucher par Léa (elle n'est pas du tout bi), et que cela n'ait pas frustré Léa. Je ne pense pas qu'on recommencera de sitôt avec le confinement, mais c'était une expérience très agréable, et j'aimerai recommencer avec une autre amie. Des questions?
Je Suis Effondré, Je Viens D'Apprendre Que Ma Copine A Eu Une Sexualité Ultra Débridée Avant Moi Sur Le Forum Blabla 18-25 Ans - 23-05-2022 13:01:45 - Page 6 - Jeuxvideo.Com
Il faut évidemment que ce soit une décision prise d'un commun accord: je l'ai déjà fait avec mon ex, et ça s'est passé dans le feu de l'action. À ce moment-là, l'envie dépasse tout. Mais si c'est un coup d'un soir, je refuse catégoriquement. D'abord parce que c'est désagréable, et aussi parce que je pense aux MST. Ce qui est sûr, c'est que je veux être prévenu à l'avance François* De toutes façons, la plupart des filles le disent d'emblée, et la majeure partie d'entre elles refusent de faire l'amour quand elles ont leurs règles. J'imagine que c'est parce qu'elles se sentent sales ou que ça leur fait mal. Mais ce qui est sûr, c'est que je veux être prévenu à l'avance. Dans tous les cas, je ne suis pas fan: c'est cent fois mieux sans. Le plus choquant, c'est d'avoir du sang sur soi. " Paul*: "La gêne vient plus souvent des filles que des garçons" "Ça ne me dérange pas spécialement. A priori, je ne le fais pas quand ma copine à ses règles, mais si on ne s'est pas vus pendant un moment et que nos retrouvailles tombent à ce moment-là, on le fait quand même, assez naturellement.
Je suis tellement sidérée qu'ils osent faire comme si je n'étais pas là que je ne sais comment réagir. Tétanisée par l'énormité de ce manque de considération, je fais semblant de dormir, je me bouche les oreilles, en vain. C'est un moment d'une violence incroyable. En quelques minutes, intruse, voyeuse bien malgré moi, j'ai assisté à une scène d'une crudité inouïe, découvert les bruits de l'amour physique, ressenti la charge érotique de la scène sans encore en connaître les sensations. Pendant des mois, ils recommencent. Et je continue à faire semblant de dormir. J'ai honte et je sombre lentement dans un profond mal-être dont je ne peux parler à personne. J'appréhende le soir, les dîners à trois. Mes 15 ans deviennent une période noire, de repli total. Qu'on puisse aussi facilement faire abstraction de ma présence dans des moments aussi intimes et impudiques à la fois est forcément la preuve que je ne compte pas, que je suis transparente, que je n'existe pas. Mes parents finissent par remarquer les changements dans mon comportement puis, comme ça dure, m'accablent de reproches: je suis devenue taciturne, irritable, invivable.