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Le Cherche Midi, Paris, 1997 « Bazaine », Jean-Pierre Greff, Ed. Ides et Calendes, Neuchâtel, 2002 « Jean Bazaine, Hommages », Ed. Galerie Louis Carré & Cie, 2004 « Au Pays de Bazaine », Bernard Berrou, Editions Diabase, 2015 A lire de l'artiste: « Le temps de la peinture (1938-1989 », Ed. Aubier, Paris, 1990 « Entretiens avec Jean Bazaine: Couleurs et mots », Ed. Cherche Midi, 1997 Site internet: Aucun site internet dédié à cet artiste. En savoir plus: + Timbre Timbre de Jean Bazaine timbre fictif L'émission d'un timbre poste est souvent un hommage rendu par une nation à un lieu, à un événement, à une cause remarquable ou à un personnage qui compte. Les peintres et autres artistes n'échappent pas à cette règle. Certains sont pourtant des « oubliés » de l'art postal. Voici, rassemblés ci-dessous (français ou étranger), les timbres émis (171) ou les simples études de timbre (209) en hommage aux artistes représentés sur notre site. Le premier timbre français fut émis en 1849, l'Angleterre nous précéda d'une dizaine d'années.
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Pour la création des vitraux de la cathédrale de Saint-Dié (Vosges) qui lui est proposée, il rassemble en 1984 une équipe à laquelle participent Geneviève Asse, Gérald Collot, Elvire Jan, Lucien Lautrec, Jean Le Moal et Alfred Manessier. Durant les mêmes années il réalise une mosaïque pour le Sénat (palais du Luxembourg), et à la demande de Jack Lang la décoration en lave émaillée des murs et de la voûte de la station de métro Cluny-La-Sorbonne. En 1990 une rétrospective de son œuvre est présentée dans les Galeries nationales du Grand Palais à Paris. À partir de 1946 et particulièrement dans les années 1970 et 1980, Bazaine a illustré de dessins ou lithographies de nombreux livres, notamment d'André Frénaud, Raymond Queneau, Jean Tardieu, Marcel Arland, Jean-Claude Schneider, Claude Esteban, Pierre Oster Soussouev, Eugène Guillevic. Jean Bazaine meurt le 4 mars 2001 à Clamart. Il fait partie des peintres réunis pour l'exposition « L'envolée lyrique, Paris 1945-1956 » présentée au musée du Luxembourg (Sénat), d'avril à août 2006.
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La première rétrospective de son travail sera successivement organisée, en 1959, par la Kunsthalle de Berne, le Stedelijk Museum d'Eindhoven et par le Musée d'Amsterdam. Ses expositions, tant personnelles que collectives, se poursuivront régulièrement au fil du temps. Jean Bazaine a exploré de nombreuses voies d'expression: peintre à la gouache, aquarelliste, graveur, lithographe. Il poursuivra toujours une intense activité pour des travaux à destination monumentale: peintre de cartons de tapisseries, de cartons de mosaïques et de cartons de vitraux. Il réalisera des décors pour le théâtre et collaborera à l'aventure du livre illustré. En outre, dès 1934, Bazaine qui restera toute sa vie un homme de culture ponctuera son travail de peintre de réflexions sur l'art et les artistes. Son « Notes sur la peinture d'aujourd'hui » (Ed. Floury, Paris, 1948) est un classique des écrits de peintre, et sera souvent traduit et réédité.
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Ma vision s'est intériorisée, la notion d'objet dit extérieur a été mise en question, J'étais de moins en moins sensible aux contours et de plus en plus à un certain dynamisme du monde extérieur". Son oeuvre, en lien avec le monde extérieur – en cela il se sépare des purs abstraits – par la lumière et l'espace, s'inspire le plus souvent de la nature et détermine, notamment Saint Guénolé (Bretagne) où il séjourne chaque année depuis 1936, l'évolution de sa peinture, évolution "des formes aux forces, les forces devenant formes" selon ses propres termes. Ce qui compte, les lignes de force et la lumière qui provoquent le dynamisme. Une oeuvre picturale multiforme (toiles, aquarelles, dessins) et des oeuvres monumentales vitraux d'églises, mosaïques, tapisseries, décors de théâtre ponctuent son parcours artistique. L'oeuvre de Jean Bazaine a fait l'objet de multiples expositions et rétrospectives en France, à l'étranger et ses oeuvres figurent dans de nombreux musées français et étrangers. Sources: L'école de Paris 1945 – 1965 dictionnaire des peintres Lydia Harambourg / Regard sur la peinture contemporaine, Gérard Xuriguera, Arted 1983 / / Dictionnaire de l'Art Moderne et Contemporain Hazan 2002 / Des formes aux forces, Bazaine 82, Pascal et Jérôme Bony.
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Carte mentale Élargissez votre recherche dans Universalis Jean Bazaine est né à Paris le 21 décembre 1904, il est mort à Clamart le 4 mars 2001. D'abord intéressé par la sculpture, il suit les cours de Paul Landowski. Dès 1924, il se consacre à la peinture en même temps qu'il suit des cours de lettres et d'histoire de l'art. Son double talent de peintre et d'écrivain s'affirme au contact de Gromaire, auquel il gardera une grande admiration, et dont le dessin l'a beaucoup marqué, de l'historien de l'art Henri Focillon, qui l'intègre dans le premier Groupe d'histoire de l'art, et de Pierre Bonnard qui se dit "content de voir quelqu'un qui travaille dans [sa] voie". Jeanne Castel expose ses premières œuvres à Paris en 1930; en 1932 a lieu sa première exposition personnelle à la galerie Van Leer. Dès 1934, Bazaine pratique l'aquarelle qui lui donne une liberté qu'il va transposer dans la peinture. Parallèlement, il collabore à la revue Esprit de 1934 à 1938. En 1936, il découvre la Bretagne et la mer qui seront pour lui d'inépuisables sources d'inspiration.
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Né à Paris le 21 décembre 1904. et décédé le 4 mars 2001 à Clamart. Etudes de lettres, puis de sculpture et de peinture à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris où il est l'élève de Paul Landowski. Très nombreuses expositions individuelles dès 1930 à Paris (entre autres dans les galeries Maeght, Jeanne Castel et Louis Carré) en France et en Europe. Collabore dès 1934 à "Esprit" et à "Temps présent". Responsable de la section des arts plastiques au sein du groupe " Jeune France ", émanation de Vichy, critique d'art de la Nouvelle Revue de France (1941-1942) et l'un des protagonistes de l'exposition Vingt Jeunes Peintres de tradition française (Galerie Braun, 1941). 6 œuvres dans la collection Tout Derrière le Miroir n°96-97: Bazaine 1957 Bazaine, Jean Derrière le Miroir n°197: Bazaine 1972 Derrière le Miroir n°55-56: Bazaine 1953 Derrière le Miroir n°215: Bazaine 1975 Derrière le Miroir n°170: Bazaine 1968
Lors de sa première exposition en 1932, Pierre Bonnard lui confie: « je suis content de voir quelqu'un qui travaille dans ma voie, je suis si seul. ». En 1937, il réalise avec Jean Le Moal une peinture murale dans le cadre de l'Exposition internationale de Paris, crée un premier vitrail pour une chapelle privée et fait la connaissance de Jacques Villon avec qui il se liera. En 1939, Bazaine est mobilisé en Lorraine. Chargé en 1941 de la section Arts plastiques à l'organisation Jeune France (infiltrée par les adversaires du régime de Vichy et dissoute dès 1942), Bazaine travaille notamment avec Jean Vilar et Maurice Blanchot. Avec André Lejard il organise ainsi en 1941, malgré les condamnations officielles de l' « art dégénéré », l'exposition « Vingt jeunes peintres de tradition française », première manifestation à Paris de la peinture d'avant-garde sous l'Occupation. Avec Maurice Estève il entre en 1942 à la Galerie Louis Carré qui exposera aussi Charles Lapicque et Jacques Villon. En 1943, il fait la connaissance de Georges Braque qu'il rencontrera souvent après la Libération.