Duc Des Cars Alger
Amédée François Régis de Pérusse, duc des Cars (ou d'Escars) ( 30 septembre 1790, Chambéry - 19 janvier 1868, Cannes) est un général et homme politique français. Biographie [ modifier | modifier le code] Fils de François Nicolas René de Pérusse des Cars, issu d'une des plus anciennes familles de la noblesse française, il suit la carrière militaire. Colonel aide de camp et gentilhomme d'honneur du duc d'Angoulême en 1814, il commandait en 1815 un corps de volontaires qui remporte quelques avantages à Montmirail pendant les Cent-Jours, et est nommé maréchal de camp sur le champ de bataille. sous la Restauration. Il épouse le 25 juin 1817 au château d'Abondant Augustine Frédérique Joséphine du Bouchet de Tourzel ( 1798 - 1870). Ils eurent six enfants dont Geneviève, duchesse de Vallombrosa, qui mourut à Abondant le 17 octobre 1886 et François Joseph (1819-1891), 3 e duc des Cars. En 1822 au décès de son père il recueilli sa pairie; il fut fait duc et pair le 30 mai 1825, mais les lettres patentes n'eurent pas le temps d'être scellées.
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Charles-Maurice de TALLEYRAND (1754. 1838) Lettre autographe signée à un Général. Une page in-12°. Slnd (Circa 1830) Mon cher Général, je voudrais bien savoir si vous avez quelques nouvelles du duc Des Cars qui était à Alger et dont la famille est inquiète. C'est un des pairs dont l'opinion il y a quelques années était fort comptée dans notre chambre. Mille amitiés. Talleyrand. » Amédée de Pérusse des Cars (1790. 1868), général et pair de France, commanda la 3e division lors de la conquête de l'Algérie en juillet 1830. Lors de la chute de Charles X, il donna démission de tous ses emplois.
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Sur le socle de granit, une plaque fut apposée sur laquelle se lit cette inscription: AU LIEUTENANT-GÉNÉRAL AMÉDÉE-FRANÇOIS DE PERRUSSE DUC DES CARS, COMMANDANT LA 3e DIVISION A LA BATAILLE DE DELY-IBRAHIM, LES 25, 26, 27 ET 28 JUIN 1830, A SES MARÉCHAUX DE CAMP, VICOMTE BERTIER DE SAUVIGNY GÉNÉRAL BARON HUREL GÉNÉRAL COMTE DE MONTLIVAULT ET A TOUS SES FRÈRES D'ARMES, DELY-IBRAHIM RECONNAISSANT. Il y avait à quelques kilomètres d'Alger un monument modeste perdu dans un bois de pins. Une stèle de marbre. Un buste de bronze. Une grille. C'est tout. Le buste était celui d'Amédée-François Régis de Pérusse, duc des Cars, lieutenant-général, qui commanda la 3e division durant les dures journées du 25 au 28 juin 1830. La forêt avait pris le nom de celui qui l'illustra. Si la mémoire de Régis de Pérusse fut perpétuée par le bronze, nombre de ses camarades des combats de juin n'eurent pas ce privilège. Cependant, leur nom a figuré sur quelque stèle, dont on apercevait la blancheur, au hasard du chemin, dans les champs et les vignes, sur les lieux mêmes où ils s'étaient battus.
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Il participe à l' expédition d'Espagne en 1823, fut nommé commandant supérieur du quartier général à Madrid, et commanda la 2 e colonne d'attaque à la prise du Trocadéro. Il fut promu lieutenant-général des armées du roi le 16 décembre 1823. Il achète en 1828 le château de La Roche-de-Bran à Montamisé ( Vienne). Il commanda la 3 e division lors de la conquête de l'Algérie en juin 1830. Il accompagne Charles X à Lullwort lors de la révolution de Juillet, et reste, jusqu'à sa mort, un des représentants autorisés du « comte de Chambord ». Références [ modifier | modifier le code] « Escars (Amédée-François-Régis Pérusse, duc d') », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [ détail de l'édition] André Borel d'Hauterive, Annuaire de la pairie et de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe et de la diplomatie, Volume 3 (1845). Voir aussi [ modifier | modifier le code] Articles connexes [ modifier | modifier le code] Maison de Pérusse des Cars Liens externes [ modifier | modifier le code]
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Cette parodie de Globe shakespearien à ciel ouvert était surveillé du haut par les loges et le poulailler constitués par les balcons de fer forgé où se penchaient de temps en temps, à tour de rôle, une tête de maman préoccupée pour surveiller sa couvée du haut. C'est là que se retrouvaient Nicole Dupuis, toujours avec son petit frère Pierre en appendice( trop petit pour se rebeller), Liliane Benaim du 54, Geneviève Perségol du 59, les soeurs Saupagna qui remontaient de l'angle de la rue d'Est(h)onie, la rimbambelle de rejetons des Du Barry du 57 ( des nobles!! )ma soeur Ghislaine, votre servante et d'autres filles encore qui se reconnaîtront, dont les maisons étaient riveraines de ce morceau de jeux étaient les mêmes que ceux que nous organisions dans la cour de l'école avec en plus la bicyclette et les patins. Pour en revenir aux Du Barry, la maman avait mis en acte une méthode pédagogique sui generis: elle laissait que ses enfants fassent tout par eux- mêmes. Le résultat était que les grands se montraient plus ou moins correctement vêtus, mais les petits s'en allaient qui avec les souliers délacés, qui avec les pans de chemise hors du pantalon, qui avec les tresses à moitié attachées, on aurait dit une mère poule avec plein de vilains petits canards par derrière....
Ce qui veut bien dire qu'il y a avait, outre le 19, au moins 21 numéros avant le 23. Avait-on en 1921 rasé les immeubles sur les terrains en attente de recevoir les nouvelles constructions? Et les immeubles après le n°23? Je n'ose pas penser que le recenseur du très sérieux annuaire "Fontana Frères" aurait osé faire l'impasse (si je peux dire) sur tous les autres numéros... L'un de nos lecteurs a t-il une explication à ça? Cliquer pour voir tous les habitants. Et cliquez à nouveau pour agrandir l'image. On notera le nombre anormalement élevé d'employés des PTT. Pour compenser, en cliquant ci-dessus, vous trouverez le fac-simile de la page où se trouvent les noms des habitants de la rue du Docteur Trolard, toujours en 1922. Hein? Ça vous fait une belle jambe? Ben oui, avec ce que ça grimpe, forcément, ça muscle!
Encouragée par les copines, à peine montée sur une bicyclette de « grand », je suis tombée sur des cailloux et mes pauvres genoux portent encore les cicatrices de cet unique essai..... On subissait, de temps à autre, l'irruption des « barbares » venus du nord des 7 merveilles (on est toujours le sud de quelqu'un... ) avec leurs carrioles à petites roues bruyantes qui profitaient de la pente pour débouler sur nos pacifiques marelles et nous en chassaient illico... Excédées, nous réagissions quelquefois en les renvoyant d'un «va voir ta soeur là- haut.... » Le soir, la placette devenait le refuge d'un pauvre hère que tout le monde appelait le" kilo", pauvre loque dont nous nous moquions..... comment n'avoir pas eu pitié de cet être abandonné de tous qui trouvait dans la dive bouteille un certain réconfort? C'était peut être un ancien soldat que la France avait oublié, car il portait un vieux paletot Kaki, style militaire. Ma mère, en rentrant des courses, lui refilait un morceau de pain en silence....