Marie-Monique Robin : « L’ortie Est Devenue Pour Moi Un Symbole De Résistance »
Français [ modifier le wikicode] Étymologie [ modifier le wikicode] (fin XII e siècle) Du latin ŭrtīca (→ voir urticaire), dérivé du verbe urere (« brûler »). (Début du XII e siècle) orthie. Nom commun [ modifier le wikicode] Singulier Pluriel ortie orties \ɔʁ\ Ortie jaune ( Lamium galeobdolon) en fleurs (2) ortie \ɔʁ\ féminin ( Botanique) Plante aux feuilles pointues, très dentées et garnies, comme les tiges, de poils urticants. La grande ortie ( Urtica dioica) est une plante sauvage et fort commune, de la famille des Urticacées, dont la tige et les feuilles sont piquantes. La petite ortie, ou ortie brûlante ( Urtica urens), est plus petite. Tout ce qui n'était pas terre retournée était herbe, chardons ou orties. — ( Alexandre Dumas, Les Mille et Un Fantômes) Tout se découvrit, les vols anciens et le dernier, et elle reçut une fessée d' orties, qui lui couvrit le derrière de camboules. Une bonne fessée. — ( Edmond et Modèle:ww, Journal, 1864, page 57) Nourris de lait sûri, d' orties, puis de grenailles de pommes de terre, finalement poussés au seigle jusqu'à frôler le coup de sang, les cochons vagabondent tout le jour dans le pachis — le clos — autour de la maison […] — ( Jean Rogissart, Passantes d'Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958) ( Par analogie) Plante, généralement de la famille des Lamiacées, ne faisant pas partie des Urticacées, mais présentant avec elles une certaine ressemblance.
- Marie-Monique Robin : « L’ortie est devenue pour moi un symbole de résistance »
- Ortie — Wiktionnaire
- Une bonne fessée
- La fessée aux orties...?
Marie-Monique Robin : « L’ortie Est Devenue Pour Moi Un Symbole De Résistance »
Deux provocantes paires de fesses rebondies, indécemment écartées par la position qu'elles étaient obligées de maintenir, et enflées par les vigoureuses fessées subies. Elles en paraissaient carrément énormes. Une pension de famille bien tenue - chapitre 18 Yann sut tout de suite qu'il voulait rester dans cette atmosphère rigoureuse mais chaleureuse. Marie-Monique Robin : « L’ortie est devenue pour moi un symbole de résistance ». Malgré sa réserve et la fessée qui lui était promise, il se sentait comme à la maison. Il fut amené à se présenter et les autres convives dirent quelques mots sur leur situation. Louison et François furent des plus réservés, mais les deux sœurs menaient la conversation, interrogeant leurs locataires l'un après l'autre et tous répondaient promptement et poliment. Cela donnait l'impression d'avoir à table deux adultes qui interrogeaient trois enfants sur leur journée et sur leurs projets, tout en étant vigilantes à la bonne tenue à table. Mémoires d'un garnement de jadis - 163ème tableau "La fin de l'année approchait mais mes facéties exaspéraient toujours mes ensignantes favorites.
Ortie — Wiktionnaire
Une Bonne Fessée
L'atelier était désert... Il appuya sa main sur l'épaule de Mme Gervaise et la contraignit à s'incliner si bas que sa croupe gonfla sa robe en une position qui ne faisait plus d'elle qu'un impudent et évasé postérieur. Toujours la maintenant ployée, il passa sa main sous la robe et la combinaison, et, ayant constaté que l'ouvrière avait une culotte il en atteignit la ceinture élastique. Le corps de Mme Gervaise eut un violent sursaut. Il tira la culotte sur les cuisses, retournée comme un gant, l'amena sur les jambes gantées de soie végétale. C'était une petite culotte de nansouk saumon; il la fit glisser encore le long des mollets qui se frottaient déjà l'un contre l'autre, et en une seule brassée troussa la belle jusqu'à la taille. Le derrière nu frémit et se crispa, bloquant pudiquement ses globes rose et blanc sur leur sillon médian. - Ah tu brises les vitres! Gronda le contremaître en tutoyant son ouvrière pour la première fois, eh bien, verre pour verre: tu vas voir ton verre de montre.
La Fessée Aux Orties...?
D'autres plaisirs complémentaires et tout aussi troublants… Un jour qu'il était en train de me punir, j'étais à genoux sur une chaise, les mains sur la tête, en culotte courte et mes cuisses étaient en train de rougir sous les lanières, on a sonné à la porte. Il m'a dit de ne pas bouger. Il est allé ouvrir, c'était le plombier qui devait passer beaucoup plus tard mais qui avait de l'avance. Je suis resté en position, les cuisses en feu, en entendant le plombier passer d'une pièce à l'autre pour résoudre un problème de chauffage. J'étais dans le coin d'une pièce qui s'ouvrait sur la cuisine et même si on ne pouvait pas me voir en passant, j'avais peur et envie d'être vu ainsi humilié et puni. J'ai recherché aussi la fessée devant témoins mais mon compagnon était trop difficile sur les témoins potentiels et cela ne s'est jamais fait. Quand nous nous sommes quittés, il m'a donné le martinet qui avait servi à mon éducation et qui portait une étiquette à mon nom pour que je le transmette à celui qui prendrait en main la suite.
C'était déjà un mélange de peur et d'envie qui me rendait tout chose… L'un de mes copains de jeu, plus jeune d'ailleurs de deux ans, recevait le martinet à la maison et j'étais extrêmement troublé de le voir accroché au mur quand j'allais jouer chez lui. Chez ma première nourrice, il y avait également un martinet pendu au mur de la salle à manger mais il n'était pas pour moi, mais pour son plus jeune fils qui avait quatre ans de plus que moi. C'est d'ailleurs avec cette première nourrice que j'ai également un souvenir très troublant. Ayant eu une éducation naturiste, j'avais une fois voulu montrer mon zizi à une petite assemblée qui devait s'être fort amusée de la chose, alors que je ne devais avoir que 5 ou 6 ans. C'était dans un quartier HLM où tout le monde se parlait à cette époque et le vent avait vite amené l'épisode aux oreilles de ma nourrice qui m'avait fait avouer mon forfait. Comme je devais être rouge comme une pivoine et que je résistais, elle m'a claqué les cuisses et j'ai cédé.