Le Malade Imaginaire Acte 2 Scène 5 Summary
Veut appuyer sur le fait de complimenter Argan - semble réciter son compliment, n'est pas autonome, demande systématiquement à son père comment agir - compliment très long, difficile à comprendre - a appris un texte par cœur, le récite, s'inspire de grands philosophes de l'époque pour sortir un texte totalement délirant au lieu de seulement dire « mes hommages monsieur/ mademoiselle » → pourtant amplement suffisant - M. Diafoirus parle en premier et en dernier - demande à son père si ce qu'il fait est bien → n'a pas confiance en lui? - temps employé: présent de discours - pronoms je + me + vous → signe de reconnaissance INTRODUCTION Jean-Baptiste Poquelin dit Molière né en 1622 et mort en 1673 est un dramaturge français du 17ème siècle. Acte 2 scène 5 le malade imaginaire. Il appartient au mouvement du classicisme, qui remet en cause les excès du mouvement baroque, et qui s'inspire des auteurs antiques. Ses principales pièces sont des comédies comme le Médecin malgré lui, le Tartuffe et le Bourgeois Gentilhomme. Le Malade Imaginaire est sa dernière pièce.
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Le Malade imaginaire Acte II, 5 Lecture de la scène Scène 5 - MONSIEUR DIAFOIRUS, THOMAS DIAFOIRUS, ARGAN, ANGELIQUE, CLEANTE, TOINETTE, LAQUAIS. ARGAN Allons, vite, ma chaise, et des sièges à tout le monde. Mettez-vous là, ma fille. Vous voyez, monsieur, que tout le monde admire monsieur votre fils; et je vous trouve bien heureux de vous voir un garçon comme cela. MONSIEUR DIAFOIRUS Monsieur, ce n'est pas parce que je suis son père; mais je puis dire que j'ai sujet d'être content de lui, et que tous ceux qui le voient, en parlent comme d'un garçon, qui n'a point de méchanceté. Il n'a jamais eu l'imagination bien vive, ni ce feu d'esprit qu'on remarque dans quelques-uns; mais c'est par là que j'ai toujours bien auguré de sa judiciaire, qualité requise pour l'exercice de notre art. Le malade imaginaire acte 2 scène 5.0. Lorsqu'il était petit, il n'a jamais été ce qu'on appelle mièvre et éveillé. On le voyait toujours doux, paisible et taciturne, ne disant jamais mot, et ne jouant jamais à tous ces petits jeux que l'on nomme enfantins.
Le Malade Imaginaire Acte 2 Scène 5 Scene
on apprend à dire de belles choses. ARGAN, à Cléante. Hé! que dites-vous de cela? CLÉANTE. Que Monsieur fait merveilles, et que, s'il est aussi bon médecin qu'il est bon orateur, il y aura plaisir à être de ses malades. Assurément. Ce sera quelque chose d'admirable, s'il fait d'aussi belles cures qu'il fait de beaux discours. Allons, vite, ma chaise, et des sièges à tout le monde. (Des laquais donnent des sièges. ) Mettez-vous là, ma fille. Le malade imaginaire acte 2 scène 5 scene. (À Monsieur Diafoirus. ) Vous voyez, Monsieur, que tout le monde admire Monsieur votre fils; et je vous trouve bien heureux de vous voir un garçon comme cela. Monsieur, ce n'est pas parce que je suis son père; mais je puis dire que j'ai sujet d'être content de lui, et que tous ceux qui le voient en parlent comme d'un garçon qui n'a point de méchanceté. Il n'a jamais eu l'imagination bien vive, ni ce feu d'esprit qu'on remarque dans quelques-uns; mais c'est par là que j'ai toujours bien auguré de sa judiciaire [8], qualité requise pour l'exercice de notre art.
Le Malade Imaginaire Acte 2 Scène 5.0
Parer notre chambre. »
Acte 2 Scène 5 Le Malade Imaginaire
Nous venons ici, Monsieur... Avec beaucoup de joie... Mon fils Thomas et moi... L'honneur que vous me faites... Vous témoigner, Monsieur... Et j'aurais souhaité… Le ravissement où nous sommes… De pouvoir aller chez vous… De la grâce que vous nous faites… Pour vous en assurer... De vouloir bien nous recevoir… Mais vous savez, Monsieur… Dans l'honneur, Monsieur... Ce que c'est qu'un pauvre malade... De votre alliance... Qui ne peut faire autre chose… Et vous assurer… Que de vous dire ici… Que, dans les choses qui dépendront de notre métier... Qu'il cherchera toutes les occasions... De même qu'en toute autre... De vous faire connaître, Monsieur... Nous serons toujours prêts, Monsieur... Qu'il est tout à votre service... Le Malade imaginaire, Acte II, scène 5. À vous témoigner notre zèle [1]. (Il se retourne vers son fils et lui dit:) Allons, Thomas, avancez. Faites vos compliments. THOMAS DIAFOIRUS est un grand benêt, nouvellement sorti des Écoles, qui fait toutes choses de mauvaise grâce et à contretemps. N'est-ce pas par le père qu'il convient de commencer?
I ntroduction Argan, un « malade imaginaire » qui vit reclus au milieu de potions et de drogues diverses, entouré à toute heure de médecins et d'apothicaires, rêve d'un gendre médecin pour l'avoir constamment sous la main. À cette fin, il souhaite que sa fille Angélique en épouse un. Bien entendu, elle n'est pas d'accord. Une entrevue met donc en présence les camps ennemis: d'un côté Argan, Monsieur Diafoirus, médecin, et son fils, Thomas, futur médecin quelque peu stupide, de l'autre Angélique et son amant Cléante. Quant à la servante, Toinette, elle choisit bien entendu le parti des deux jeunes gens. Molière - Le Malade imaginaire - Acte II scène 5 - analyse 01 | Culturellement.fr. Acte II, scène 5 ARGAN, mettant la main à son bonnet, sans l'ôter. Monsieur Purgon, Monsieur, m'a défendu de découvrir ma tête. Vous êtes du métier: vous savez les conséquences. MONSIEUR DIAFOIRUS. Nous sommes dans toutes nos visites pour porter secours aux malades, et non pour leur porter de l'incommodité. ARGAN. Je reçois, Monsieur... Ils parlent tous deux en même temps, s'interrompent et se confondent.