Phase De Recette De
Gestion de projet – étape #4: La recette fonctionnelle (ou utilisateur) Publié le 23 mars 2009 La phase de recette fonctionnelle est souvent négligée dans un projet, et pourtant c'est celle qui nécessite le plus d'attention. La VA (ou VABF vérification d'aptitude au bon fonctionnement) doit être bien préparée et planifiée par le chef de projet. Ce dernier doit piloter le client pour optimiser les résultats et les délais. Il faut en quelque sorte imposer un rythme (vous êtes le chef d'orchestre, à vous de jouer! ). Une durée convenable pour un projet de 100-200j est de 20j, c'est donc assez court. Il faut mettre en place une organisation adéquate pour optimiser votre temps. Avant toute chose, il faut initialiser la recette client seulement une fois vos préparatifs terminés. Cette étape préliminaire consiste à effectuer une recette interne, afin de garantir que le livrable est conforme à la demande. Et de vous assurer que la recette peut s'opérer dans de bonne condition. Le plus important est de vérifier la disponibilité des intervenants et leur capacité à accomplir cette tâche.
Phase De Recette
La recette utilisateur, est comme son nom l'indique, avant tout une histoire humaine… plus ou moins bien véc u de fait! A ce titre, le chef de projet doit intensifier sa communication auprès du client (et de ses équipes) et l'accompagner au maximum. Cette entrée a été publiée dans Gestion de projets et taguée étape projet, cahier de recette, phase recette, protocole de recette, recette fonctionnelle, recette utilisateur, VA, VABF.
les condamnations pécuniaires: elles sont recouvrées selon des procédures particulières précisées dans un décret de 1964 par les comptables directs du Trésor. Il existe plusieurs exceptions au recouvrement: l'admission en non-valeur ( art. 92 RGCP): elle est prononcée par l'ordonnateur lorsqu'une recette n'a pas pu être recouvrée par le comptable pour des raisons indépendantes de sa volonté (débiteur insolvable par exemple). Cette recette doit être non fiscale, non domaniale ou ne pas présenter le caractère d'une condamnation pécuniaire; la faculté de transaction: pour les sommes inférieures à 76 000 €, les comptables peuvent transiger (négocier) eux-mêmes, mais au-delà de cette somme, seul l'Agent judiciaire du Trésor est compétent; les remises: pour les ordres de recettes du budget général (ou comptes spéciaux et budgets annexes) que le comptable prend en charge, il peut consentir des remises dont le montant pour une même dette ne peut pas excéder 76 000 €. Sa décision peut faire l'objet d'un recours devant le ministre du Budget.