Baudelaire Le Chat 2
Œuvre du domaine public. Lecture plein écran Le chat (2) Charles Baudelaire Lire cette oeuvre Table des matières Le chat (2) Env. Le chat 2 baudelaire analyse linéaire. 1 page / 246 mots Poster votre avis Suggérer des corrections Alerter un modérateur Ajouter à vos oeuvres favorites Rejoignez nos plus de 80 000 membres amoureux de lecture et d'écriture! Inscrivez-vous gratuitement pour reprendre la lecture de cette œuvre au bon endroit à votre prochaine visite et pouvoir la commenter. Annonces à propos de cette oeuvre Flux RSS Aucune annonce à propos de cette oeuvre L'avis des lecteurs 2 aiment Fond: Aucun avis Forme: Aucun avis Poster votre avis
Le Chat 2 Baudelaire Analyse
Mais, cela n'est que formel car le chat l'emporte fortement sur la personne du maître. THEME Le chat, animal magique, envoûte son maître par ses mystérieux pouvoirs… AXES I] Le portrait du chat II] La relation entre le chat et son maître AXE PREMIER: LE PORTRAIT DU CHAT Le portrait du chat est conditionné selon trois éléments: 1) L'attribut du chat: sa fourrure L'importance de la fourrure nous est donné par une inversion syntaxique. En effet, Baudelaire nous donne d'abord le complément circonstanciel de lieu « De sa fourrure blonde et brune » (Vers 1) avant le verbe et le sujet: (Vers 3): « J'en fus embaumé ». Intérêt? Mettre l'accent sur la fourrure. Dans quel but? La fourrure est vecteur de deux éléments dans ce poème: L'odorat Le toucher La fourrure est donc le domaine de l'expérience sensoriel et les deux sens que sont sollicités sont olphatique et tactile. Le chat (2) de Charles BAUDELAIRE dans 'Les Fleurs du Mal' sur UnJourUnPoeme.fr : lectures, commentaires, recueils. Or, il faut savoir que le parfum est un facteur capital dans le monde de Baudelaire. Et, l'autre thématique favorable à cette expérience faisant intervenir l'odorat est que le soir véhicule mieux les odeurs comme il nous le dit lui même dans un de ses poèmes, Parfum exotique.
Quand mes yeux, vers ce chat que j'aime Tirés comme par un aimant Se retournent docilement Et que je regarde en moi-même Je vois avec étonnement Le feu de ses prunelles pâles, Clairs fanaux, vivantes opales, Qui me contemplent fixement. Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal