Maison Des Parents De Bordeaux-Cartierville (La) | Centraide Du Grand Montréal
Grand Montréal, Montréal Partager La Maison des Parents de Bordeaux-Cartierville 5680, rue Salaberry, # 2, Montréal, Québec, H4J 1J7 Afficher sur une carte Téléphone 514-745-1144 Information: [email protected] Mission La Maison des Parents de Bordeaux-Cartierville a pour mission de travailler à l'amélioration des conditions de vie des parents et de leurs enfants en vue de favoriser leur épanouissement et leur bien-être par une approche globale incluant prévention, information et soutien.
La Maison Des Parents De Bordeaux Cartierville 2015
« Si vous ne participez pas au niveau national, des décisions peuvent être prises sans possible retour en arrière. J'ai voulu m'impliquer. Mais je me suis préparé en amont pour ça », explique-t-il. Et il mesure l'ampleur du travail qui l'attend pour une durée de trois ans: « Pour mon magasin de Bordeaux, il n'y aura pas vraiment de changement car j'ai déjà l'habitude de me déplacer. J'ai confiance en mon chef de labo et en mon équipe. » « Avec la pandémie, j'ai noté une hausse de 15% de mon chiffre d'affaires » Thierry Lalet a déjà une petite idée sur sa nouvelle mission, « un vrai métier impliquant des axes de travail plus ou moins drôles »: « D'un côté, il y a tout le volet social à gérer. Je vais par exemple intervenir dans des commissions sur le bien-être des salariés, discuter leurs grilles de salaires, me pencher sur leur protection sociale. En tant que président, je dois à la fois défendre employeurs et salariés. On est là pour éviter les conflits », précise-t-il. Dans sa feuille de route, il prévoit de sensibiliser les membres de la confédération aux démarches RSE (responsabilité sociale et économique).
Quatre mois plus tard, la justice française émettait un mandat d'arrêt contre son épouse japonaise, qui avait enlevé ses enfants en 2018. Une goutte d'eau dans la mer? C'est ce qu'affirment certains pères qui, comme Vincent Fichot, n'ont pas revu leurs enfants binationaux depuis deux, trois, quatre, voire six ans. Près de 500 enlèvements parentaux chaque année C'est le cas de Pierre-Vincent, 52 ans. Un dimanche matin de septembre 2015, il ne sait pas encore qu'il embrasse sa fille Amélie pour la… Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 90% à découvrir. Cultiver sa liberté, c'est cultiver sa curiosité. Continuez à lire votre article pour 0, 99€ le premier mois Déjà abonné? Connectez-vous «Tous les jours, j'attends que ma fille rentre à la maison»: le cri du cœur de ces pères de famille victimes d'enlèvements parentaux S'ABONNER S'abonner