Partout On Tue, Poème Par Maurice Carême | Poésie 123
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Maurice Carême Maurice Carême, (1899 - 1978) est un poète et écrivain belge de langue française. Il est très apprécié pour son amour des enfants, un registre essentiel de son œuvre. Mais il est aussi un poète de la grandeur et de la misère de l'homme. La vie, poème par Maurice Carême | Poésie 123. Consulter tous les textes mentionnant Maurice Carême Maurice Carême Au Cirque La Main de ma Mère La Terre est Ronde Les Machines L'école L'Enfant Pour ma Mère
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Pourtant, il est sur les coteaux Tout un peuple de marguerites. Mais aujourd'hui, on se contente Des fleurs que font, dans les ruisseaux, Les couleurs d'iris de l'essence, Les fumées d'or des hauts fourneaux. À quoi bon allumer, gentianes, Votre bleu le plus adorable. N'est-il, dans le fond des moteurs, Des odeurs autrement profondes, Odeurs qui mettent dans le cœur Tous les paysages du monde? Écrit à La Grave (Hautes-Alpes) le 20 juillet 1973 Le couchant roulait sur la ville Rond et pesant comme une orange. La paix poésie de maurice carême dessin. Personne ne voyait les anges Qui survolaient les toits par mille. Chacun parlait du chaud, du froid, De l'ouverture de la chasse, Du crime révoltant de Blois, De ce qui vient, de ce qui passe. Nul ne songeait à regarder Le vol de ces têtes ailées Qui remontaient droit vers le nord. Le fleuve s'écoulait sans bruit. Les pêcheurs désertaient ses bords, Tout déjà entrait dans la nuit. Écrit à Château-Thierry le 27 août 1969 Quel silence sur l'étendue du val! Dans le ciel immobile, Des nuages légers glissent vers le canal Où les peupliers font la file.
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A quoi servirait-il de fuir? Partout on tue, on incarcère. Le monde est lassé à mourir De tant de haines et de guerres. Et l'on a beau scruter le ciel, Chercher derrière les nuages Une lueur providentielle, Rien que la nuit, que les orages. La paix poésie de maurice carême de. Et l'on a beau vouloir parler A cœur franc de ce qui nous hante. La crainte nous serre le ventre, Et personne n'ose parler. Et l'on a beau vouloir crier Qu'on a les pieds, les mains liés. Comme personne ici ne crie, On se tait par humilité. Maurice Carême
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* documentation envoyée sur simple demande Photos de et © André Hick Poèmes © Fondation Maurice Carême
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Et les hommes s'étonnent De sentir autour d'eux Tous les morts de l'automne Errer si loin des cieux Qu'à leur tour abandonnent Les étourneaux frileux. s. d. Déjà le froid monte de terre, Le soleil est tombé des cieux. Une brume légère Met son écharpe au cou des bœufs. Un instant encore, la lumière Longue du crépuscule Glisse sur l'or des renoncules Comme une barque sur la mer. Un dernier nuage s'éteint, Et, peu à peu, l'odeur des foins Se fait si étonnamment dense Que l'on se croirait brusquement Dans une grange où se rassemblent Des araignées d'argent. Poésie 🗽 Liberté de Maurice Carême 🗽 | Maurice careme, Poesie, Maurice. Écrit à Écaussines le 30 mai 1964 Dieu! qu'aujourd'hui la mer est belle! Le dirai-je jamais assez. Belle, mais belle à le crier Pour qu'on l'entende jusqu'au ciel. Imaginez-vous un vert jade, Puis à l'horizon, un vert sombre Qui la souligne ainsi qu'une ombre Comme un tableau l'est par son cadre. Devant, une longue estacade De pierre dont le gris de perle Souligne encor la splendeur verte. Oh! je sais bien que je divague, Que je dirais n'importe quoi À voir la mer comme elle est là.