5E Dimanche De Carême - Serviteurs De Jésus Et De Marie
Accueil > Mots-clés > Temps de carême > 5e dimanche de carême Articles Homélie du 5 e dimanche de Carême 29 mars 2007, par Père Laurent-Marie Il se redressa et lui demanda: — « Femme, où sont-ils donc? Personne ne t'a condamnée? » Elle répondit: — « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit: — « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. » Il n'y a pas d'enregistrement pour cette homélie, veuillez nous en excuser… Texte de l'homélie: Mes bien chers frères, Voici donc que nous entamons avec ce cinquième dimanche de Carême le temps de la passion. Désormais la liturgie nous invite à fixer notre regard sur le Christ qui (…) 31 mars 2009, par Père Pierre-Marie « Si quelqu'un veut me servir, qu'il me suive; et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu'un me sert, mon Père l'honorera. » Références des lectures du jour: Livre de Jérémie 31, 31-34. Psaume 51(50), 3-4. 12-13. 14-15. Lettre aux Hébreux 5, 7-9. Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 12, 20-33. : En ce temps-là, il y avait quelques Grecs parmi ceux qui étaient montés à Jérusalem pour adorer Dieu pendant la fête de la Pâque.
- Cinquième dimanche de crème de marrons
- Cinquième dimanche de crème fraîche
- Cinquième dimanche de carême
Cinquième Dimanche De Crème De Marrons
Pour Paul, l'objectif, « c'est de connaître le Christ, d'éprouver la puissance de sa résurrection et de communier aux souffrances de sa passion en devenant semblable à lui dans sa mort, avec l'espoir de parvenir à la résurrection d'entre les morts ». La nouvelle vie que nous menons à la suite du Christ doit nous emmener, comme si nous étions greffés à lui ou attachés à lui, à prendre le même chemin que lui. Suivre le Christ dans cette ascension, c'est accepter de prendre les mêmes risques que lui. Aujourd'hui, il en prend deux: l'annonce de la miséricorde et de la persévérance. Dans le procès que l'évangile du jour nous raconte, les scribes et pharisiens venaient de prendre en flagrant délit une femme adultère qu'ils emmènent à Jésus. La loi juive prévoyait la peine capitale dans un tel cas. Toutefois, ils savaient aussi bien que la loi prévoyait cette peine capitale pour les deux accusés: l'homme aussi bien que la femme. Où était-il? Personne n'en parlera. Ce simulacre de procès était bien pour tendre un piège à Jésus.
Cinquième Dimanche De Crème Fraîche
» Alors, du ciel vint une voix qui disait: « Je l'ai glorifié et je le glorifierai encore. » En l'entendant, la foule qui se tenait là disait que c'était un coup de tonnerre. D'autres disaient: « C'est un ange qui lui a parlé. » Mais Jésus leur répondit: « Ce n'est pas pour moi qu'il y a eu cette voix, mais pour vous. Maintenant a lieu le jugement de ce monde; maintenant le prince de ce monde va être jeté dehors; et moi, quand j'aurai été élevé de terre, j'attirerai à moi tous les hommes. » Il signifiait par là de quel genre de mort il allait mourir.
Cinquième Dimanche De Carême
» Mais Jésus, pour ne point perdre la réputation de douceur qui l'a rendu aimable au peuple, déclarera qu'il faut la renvoyer sans la punir. Ils lui demandent son avis sur ce point: « Vous donc que dites-vous? » En agissant de la sorte, se disaient-ils, nous trouverons l'occasion de l'accuser, et nous le traduirons comme coupable et prévaricateur de la loi. C'est la réflexion que fait l'Evangéliste: « C'était pour le tenter qu'ils l'interrogeaient ainsi, afin de pouvoir l'accuser. » (Saint Augustin) La terre est en effet le symbole du cœur humain qui produit ordinairement le fruit des bonnes et des mauvaises actions; le doigt qui doit sa souplesse à la flexibilité des articulations, figure la subtilité du discernement. Jésus nous apprend donc à ne pas condamner aussitôt et avec précipitation le mal que nous pouvons apercevoir dans nos frères, mais à rentrer humblement dans notre conscience, et à l'examiner à fond et avec le plus grand soin, comme avec le doigt du discernement. (Alcuin d'York).
C'est énorme, incroyable! Je ne sais pas si beaucoup d'époux trompés diraient « je ne te condamne pas ». Dieu que nous trompons comme des adultères, nous dit « je ne te condamne pas ». Reste à nous ouvrir au pardon. Comment? En faisant comme Paul; il dit que ce qui l'a délivré de son passé de persécuteur, c'est la contemplation du Christ qui pardonne; je le cite « les avantages que j'avais autrefois, je les considère comme une perte à cause de ce bien qui dépasse tout: la connaissance de Jésus mon Seigneur ». Le bien qui dépasse tout, c'est la révélation de la miséricorde sans limite incarnée par Jésus. N'ayons donc qu'un souci: celui de croire en ce Christ qui dit « Je ne te condamne pas ». Ce qui montrera que nous basons notre vie sur cette parole, c'est que nous ne condamnerons pas les autres. Méditer avec l'émission Parole pour un dimanche sur RCF