149285 - Poème Choix : J’aime Les Femmes Rondes… Publié Par Gramo
La ronde Lorsque l'astre du jour embrase l'horizon, L'océan le reçoit dans un berceau de flammes, Les vagues et les flots chantent une oraison Pour cette boule de feu, qui s'éteint dans ses lames. Bientôt l'écume jette au fond du firmament Un beau disque d'argent pour éclairer les plaines, Son vieux manteau mité, se traîne lentement Pour couvrir l'univers et soulager ses peines. Ces petits feux brillants veillent toute la nuit, Sur le silence mort qui règne sur la terre, Et qui, de temps en temps, est percé par le bruit Du lugubre hou-hou d'un hibou solitaire. Les champs des laboureurs s'assoupissent repus, Une douce rosée adoucit leurs semences, Les labeurs des humains sont tous interrompus; Les villes et les bourgs tirent leurs révérences. Poème La Ronde des Enfants par Catriane. Les gens vont au théâtre ou bien au restaurant, Sous le ciel clignotant, les boulevards s'entassent, Les cinémas sont pleins, le monde exubérant Cherche hors de chez soi les choses qui délassent. Dans son sein tenébreux l'astre accueille les pleurs De tous ceux que le sort accable de souffrances, Et qui n'ont d'autres liens que peines et malheurs, Car ils ont tout perdu, même leurs espérances.
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Insensé! m'être ému quand la pitié s' expie! Pourtant c'est Prométhée, oui, c'est ce même impie Qui naguère t' aidait à vaincre les Titans. J ' étais à tes côtés dans l' ardente mêlée; Tandis que mes conseils guidaient les combattants, Mes coups faisaient trembler la demeure étoilée. Il s' agissait pour moi du sort de l' univers: Je voulais en finir avec les dieux pervers. Ton règne allait m' ouvrir cette ère pacifique Que mon cœur transporté saluait de ses vœux. Poeme sur les rondes son. En son cours éthéré le soleil magnifique N ' aurait plus éclairé que des êtres heureux. La Terreur s' enfuyait en écartant les ombres Qui voilaient ton sourire ineffable et clément, Et le réseau d' airain des Nécessités sombres Se brisait de lui-même aux pieds d'un maître aimant. Tout était joie, amour, essor, efflorescence; Lui-même Dieu n' était que le rayonnement De la toute-bonté dans la toute-puissance. O mes désirs trompés! O songe évanoui! Des splendeurs d'un tel rêve, encor l'œil ébloui, Me retrouver devant l' iniquité céleste.
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Crois-tu que la rouille dévore Les ciseaux de ses noirs Tristans? Et cette jeune et belle armée Dont ils compriment la valeur; Une bourgade consumée Suffit-elle à sa noble ardeur? Il faut au drapeau tricolore Des triomphes plus méritants; Il faut bien que la chanson fronde, Implacable comme un remord, Certaine Thémis moribonde Qui rêva des arrêts de mort. Lorsqu 'on livre à ce Minotaure, De jeunes et forts combattants, La muse que tu nous enterres A-t-elle fini de compter Les gros péchés des mandataires Qui disent nous représenter; Les pots-de-vin dont se décore La cave de tous nos traitants? La chanson doit vivre longtemps. Pour que la chanson vive, il reste A ses traits plus d'un autre but. Livre lui l' exorde modeste Des orateurs de l' Institut. Tout nouvel entrant y redore Le faux galon des charlatans. La chanson doit vivre longtemps. Poème. Cancer. La ronde des cancers. - Montmartre secret. La chanson n'est pas morte Poèmes de Agénor Altaroche Citations de Agénor Altaroche Plus sur ce poème | Voter pour ce poème | 142 votes Tout est affaire de décor Changer de lit changer de corps À quoi bon puisque c'est encore Moi qui moi-même me trahis Moi qui me traîne et m'éparpille Et mon ombre se déshabille Dans les bras semblables des filles Où j'ai cru trouver un pays.
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Dansez, les petites filles, Toutes en rond. En vous voyant si gentilles, Les bois riront. Dansez, les petites belles, Toutes en rond. Les oiseaux avec leurs ailes, Applaudiront. Dansez, les petites fées, Toutes en rond. Dansez, de bleuets coiffées, L'aurore au front. Victor HUGO
Par contre, dans les bois, les baisers, les soupirs, S'opposent aux sanglots des âmes ténébreuses, Ils parfument les coeurs de leurs mille élixirs, Et font un contrepoids aux larmes douloureuses. Mais bientôt, le silence, inévitablement, Nous redonne la paix dans l'empire des rêves, Pendant que tout sommeille, un doux gazouillement Nous annonce la fin de ces heures, si brèves. Le noir velours des cieux commence à s'éclaircir, Comme un phénix en feu, l'astre du jour se lève, Du fond de l'océan, que ses feux font roussir; Le chant du coq, au loin, dit que la nuit s'achève. Depuis l'aube des temps, de clin d'oeil en clin d'oeil, La ronde fait tourner le soleil et la lune, Qui contrôlent nos jours, du berceau au cercueil, Et qui sombrent toujours dans les flots de Neptune. Christian Cally. Poeme sur les rondes video. Décembre 2001.
15 poèmes < 2 3 4 5 6 Phonétique (Cliquez pour la liste complète): éléis élidé élis élit élu éludé élue élues élus élut élût hâla hâlai hâlais hâlait hâlas hâlât hâle hâlé hâlée hâlées hâles hâlés héla hélai hélais hélait hélas hélât... Au vieux roi de Thulé sa maîtresse Adèle Avait fait en mourant don d'une coupe d'or, Unique souvenir qu'elle lui laissait d'elle, Cher et dernier trésor. Dans ce vase, présent d'une main adorée, Le pauvre amant dès lors but à chaque festin. La ronde - Christian CALLY - Vos poèmes - Poésie française - Tous les poèmes - Tous les poètes. La liqueur en passant par la coupe sacrée Prenait un goût divin. Et quand il y portait une lèvre attendrie, Débordant de son coeur et voilant son regard, Une larme humectait la paupière flétrie Du noble et doux vieillard. Il donna tous ses biens, sentant sa fin prochaine, Hormis toi, gage aimé de ses amours éteints; Mais il n' attendit point que la Mort inhumaine T' arrachât de ses mains. Comme pour emporter une dernière ivresse, Il te vida d'un trait, étouffant ses sanglots, Puis, de son bras tremblant surmontant la faiblesse, Te lança dans les flots.