Poser Une Question Au Rabbi Se
Bonjour Rav, j'ai lu dans une de vos précédentes réponses à une question qu'un Sepharade n'a pas le droit de poser une question aux Igrot kodesh du rabbi en précisant que c'était un changement de halakha si les sepharadim le font… Alors pourquoi le rabbi aurait il ecrit ces lettres en disant qu'elles serviraient à tous ceux qui lui poseraient des questions à l'avenir, est ce que le Rabbi de loubavitch (que sa âme soit benit) à donner une coutume seulement aux Habadim? et pas pour les autres juifs? est ce en soit un changement de Halakha que de s'adresser aux igrot kodesh pour les sepharadim alors que le rabbi savait sans doute que beaucoup de juifs de toutes origines continueraient de lui poser des question? Igrot Kodech - reponse immediate du Rabbi Roi Mashiach. notre coutume sepharade veut que nous nous adressions à un sage d'Israel de son vivant mais alors est ce que le rabbi a mis en garde les sepharadim? merci pour votre réponse. chavoua tov. Réponse du Rav Ron Chaya: Chalom Meyer, Ma réponse ne s'adressait pas qu'aux séfaradim … Quand le Rabbi a dit que ses réponses serviraient à ceux qui lui poseraient des questions à l'avenir, il ne voulait pas dire qu'on ouvrirait au hasard Igrot Kodech pour voir la réponse, mais que si quelqu'un posait une question similaire à celles déjà posées, il pourrait consulter la réponse dans ses livres.
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Je lui répondis par le biais d'une parabole: un homme avait eu un fils unique à un âge avancé et il éprouvait un amour immense pour son fils. Le père avait mis en garde son jeune fils de ne pas manger ou de faire une quelconque action qui le mettrait en danger. Or, le fils n'écouta pas son père et consomma un aliment dangereux. Le médecin expliqua qu'il y avait deux possibilités: soit une opération, soit l'enfant mourrait, que D' nous en préserve. Le père choisit bien entendu l'opération, mais l'enfant pleurait et se débattait en prétendant qu'il allait bien et que son père le détestait, qu'il était méchant, etc. Mais le père n'allait pas entraver l'opération sous prétexte que son fils n'en comprenait pas la nécessité. Poser une question au rabbi noir. De même, le Maître du monde, un Père miséricordieux dont la compassion et l'amour pour nous sont infinis, nous a mis en garde dans la Tora d'accomplir les mitsvoth, car tel est le but de la création de l'homme. Si l'homme ne les accomplit pas, les malédictions mentionnées dans la Tora se réaliseront.
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Ma fille peut-elle lire dans la Torah? Au moment du Don de la Torah, tout le peuple d'Israël était rassemblé au pied du Mont Sinaï. Les commentaires précisent bien que tous, hommes et femmes, reçurent alors la Torah. Poser une question au rabbi son. Le Talmud (Meguila 23a) considère qu'une femme peut monter à la Torah mais qu'on l'évite pour préserver l'honneur de la communauté car cela laisserait entendre qu'aucun homme n'est capable de le faire. Cette vision des choses, si elle peut s'expliquer par l'histoire des mentalités à l'époque du Talmud, n'a plus de pertinence dans un monde où femmes et hommes peuvent étudier de la même manière et exercer les mêmes responsabilités à quelque degré que ce soit dans notre société. Dans nos synagogues, chacun peut monter à la Torah, sans distinction de genre. Je souhaite prier à côté de mes fils pendant les offices, en tant que femme est-ce possible? Nos synagogues n'ont pas de mehitsa, c'est-à-dire de séparation physique entre les hommes et les femmes lors des offices. La lecture de nos sources traditionnelles (Torah, Talmud, Codes …) ne justifie pas une telle séparation.
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Et du Ciel, on fit en sorte qu'ils partent immédiatement, pour qu'ils ne restent pas plus que le temps fixé au Ciel pour les purifier, car chaque instant de malheur et de souffrances est décrété dans le Ciel avec la juste mesure. C'est pour cette raison que nous consommons le soir du Séder le « Korekh », un sandwich contenant du 'harosset dans la matsa, pour affirmer que même les épreuves amères sont indispensables au bien de l'homme, tout comme la nourriture est indispensable à la survie. Nous apprenons de là qu'il convient de nous renforcer dans chaque situation et élever nos enfants dans la foi dans le Créateur du monde et Sa Providence, et nous préserver des tentations du mauvais penchant qui tente d'instiller en nous des propos renégats à la maison et à l'école, et nous aurons droit à une vie de joie et de satisfaction, et tout comme lors de la sortie d'Egypte, notre Père compatissant nous a monté de grandes prodiges, puisse-t-Il faire venir notre sauveur, rapidement et de nos jours, Amen.
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Depuis les 3500 ans où le peuple juif existe, on n'a jamais vu une coutume pareille consistant à trouver la réponse à sa question en ouvrant un livre « au hasard », nous avons l'habitude d'ouvrir un livre et de chercher une réponse appropriée, ou encore d'aller voir un Rav vivant et de lui exposer son problème… Au revoir, Rav Ron Chaya Référence Leava: 32419 Date de création: 2014-10-27 11:33:38
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JEM, c'est une communauté religieuse au sein de laquelle tous ses membres peuvent s'épanouir dans leur vie juive. Nous écoutons vos questionnements et tentons d'y apporter les réponses les plus claires. JUDÉÏTÉ Comment découvrir ou redécouvrir sa judéité simplement? Simplement, en poussant les portes de nos synagogues, pour assister aux offices ou participer aux nombreuses activités que nous proposons tant dans le cadre cultuel que culturel (lien agenda). Et également pour rencontrer nos équipes de permanents, d'enseignants, nos rabbins et échanger sur les sujets qui vous interpellent. Peut-on être juif et laïque? Découvrez la réponse du rabbin Yann Boissière ici. Puis-je venir à la synagogue, assister à un office, alors que je ne suis pas juif? Pas besoin d'être juif pour assister à un office. Nos synagogues sont ouvertes à tous. Etre l’enfant qui pose la bonne question, par le rabbi de Kalov - קונטרס. Néanmoins il faudra l'être pour compter dans le minyan ou monter à la Torah. La seule chose attendue d'une personne peu familière de la vie synagogale est de rester attentive à ce qui se passe autour d'elle et de suivre les règles adoptées par les fidèles.
Je me suis rendu un jour dans une école juive laïque en Argentine, et après ma dracha, lorsque le moment est venu généralement de poser des questions, le directeur m'a demandé deux fois s'il était possible d'adresser des questions. Cette question reflétait en réalité l'idée que chez les religieux généralement, il est interdit de poser des questions pour la bonne raison qu'il faut croire sans raison, tandis que les laïcs, n'accomplissent que ce que leur raisonnement explique, et en conséquence, ils n'accomplissent pas les mitsvoth. Et ils ont beaucoup de questions qui restent sans réponse. Poser une question au rabbi au. Je lui répondis: « Bien entendu, il est permis de poser des questions. Pose toutes les questions difficiles. » En effet, le Saint béni soit-Il veut que nous posions des questions et connaissions les réponses, et non que nous vivions avec la foi sans connaître la raison d'être des choses, comme il est écrit: « Connais ton D', ton Père et sers-Le. » En conséquence, le Saint béni soit-Il nous a donné la fête de Pessa'h au cours de laquelle nous effectuons dès le départ toutes sortes de changements pour que les enfants posent des questions, pour leur enseigner à se renseigner sur la raison de chaque chose, et nous leur répondons pour leur montrer qu'il y a réponse à tout.