Journée Internationale Contre Les Violences Policières
Journée internationale de lutte contre les violences policières Par dans Journée internationale Mis à jour le 8 avril 2022, Lu: 155 fois La Journée internationale de lutte contre les violences policières est observée chaque année le 15 mars. La journée internationale contre les violences policières a été initiée par COBP (Montréal, Canada) et l'anarchiste «Black Flag» (Suisse) en 1997. Sa date rappelle l'agression brutale de deux enfants de 11 et 12 ans, perpétrée le 15 mars par la police suisse en 1996. Depuis, le 15 mars marque le jour où les peuples du monde entier descendent dans la rue pour lutter contre les brutalités policières et se souvenir de ceux qui ont perdu la vie et qui organisent une résistance. En Allemagne, la journée n'est pas vraiment célèbre parmi les militants politiques. Toutefois, depuis 2015, le Parlement européen appelle à des actions à Berlin pour lutter contre les brutalités policières racistes. Outre la violence typique des flics lors des manifestations – bien connue des activistes antifascistes et anarchistes -, la population subit quotidiennement des brutalités policières en raison de la couleur de sa peau, de son style de vie, de son origine économique ou sociale.
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Depuis 1997, des groupes du monde entier appellent à des actions pour la Journée (15 Mars) contre la brutalité policière. Et chaque année, le problème revient encore et encore. Pour nous concentrer sur la question et attirer l'attention des gens, nous nous joignons également à l'appel à l'action. La journée internationale contre la brutalité policière a été initiée par le C. O. B. P. (Montréal, Canada) et l'anarchiste "Black Flag" (Suisse) en 1997. La date rappelle l'agression brutale de deux enfants âgés de 11 et 12 ans commise par la police suisse le 15 mars 1996. Depuis lors, le 15 mars marque le jour où les gens du monde entier descendent dans la rue pour lutter contre la brutalité policière et pour se souvenir de ceux qui ont perdu la vie et organiser la résistance contre elle. En Allemagne, cette journée n'est pas vraiment connue des militants politiques. Cependant, depuis 2015, Kampagne für Opfer rassistischer Polizeigewalt appelle à des actions à Berlin pour lutter contre la brutalité policière raciste.
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s, les photographes journalistes ont l'interdiction de témoigner: on crève les yeux de la presse et on étouffe la voix de migrant. s pour ne pas faire entendre les appels à l'aide, le bruits des noyades, des violences subies et les cris de colère. C'est la solidarité qui étouffe. L'Union Européenne lutte contre la propagation du virus mais bloque les migrant. s dans des campements insalubres en Grèce. Le gouvernement enferme des sans-papiers dans les centres de rétention, précarise les foyers de immigré. s, laisse les migrant. s à la rue, les jeunes isolé. s sans protection, les sans-papiers sans accès aux droits. Cette politique anti-migratoire, mâtinée d'islamophobie, de nationalisme et d'autoritarisme voudrait casser toute solidarité envers les personnes migrantes, les sans-papiers. Les Obligations de Quitter le Territoire Français (OQTF) pleuvent, la plupart du temps accompagnées d'Interdiction de Retour sur le Territoire Français (IRTF). La stratégie est d'invisibiliser tout en se servant de leur force de travail essentielle.
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La stratégie est d'invisibiliser tout en se servant de leur force de travail essentielle. Mais, depuis mai 2020, le mouvement des sans-papiers et la Marche des Solidarités s'opposent avec détermination et courage à cette politique. Partie prenante du mouvement social d'opposition à la politique du gouvernement, elles et ils ont ouvert la voie en brisant l'interdiction de manifester le 20 mai 2020 et en construisant un mouvement qui a investi la rue et les routes de France avec les Actes 1, 2, 3 et 4. C'est l'égalité qu'on étouffe. C'est l'avenir qui étouffe. De l'air! Le 20 mars on manifeste pour: • La liberté de circulation et d'installation. La régularisation des sans-papiers. • La protection automatique, dès leur arrivée, des jeunes étranger·e·s isolé·e·s • La fermeture des centres de rétention. • L'égalité des droits pour toutes dans tous les domaines (travail, logement, santé, éducation…). • Le droit de vote des étrangerEs. • La fin des contrôles au faciès et des violences policières.
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Par des conditions de vie inhumaines au CRA de St-Jacques-de-la-Lande (une police aux frontières violente, aucun geste barrière possible. ) Le 115 (logement d'urgence) saturé et une préfecture qui ne répond pas à son devoir d'asile. Dans les jours prochains, des dizaines de personnes vont se retrouver à la rue! Nous exigeons l'ouverture d'un centre d'hébergement ouvert 365j/365, 24h/24, sans aucune condition. La violence et le racisme d'État font ainsi des ravages dans les quartiers, dans les manifestations, au CRA, contre les migranTEs. Les forces de l'ordre sont là pour surveiller, punir, et réprimer les classes populaires et les personnes racisées, migrantes ou non. Nous sommes face à un système qui favorise la montée du racisme, de l'islamophobie, des idées les plus nauséabondes, qui nie les droits humains les plus élémentaires. L'inter-organisations de soutien aux personnes exilées appelle à manifester: À l'appel de: Awa Gueye et le Collectif Vérité et Justice pour Babacar Gueye – Attac Rennes – NPA Rennes – MIDAF – UL-CNT35 – JC35 – UCL Rennes – Cimade 35 – ACE – Ensemble 35 – GT Migrants FI Rennes – LDH Rennes – ICEM35-Pédagogie Freinet – FSU 35 – DAL 35 – PCF Rennes – Utopia56 rennes – UTUD – Solidaires 35 – GL 14/10
Mais, depuis mai 2020, le mouvement des sans-papiers et la Marche des Solidarités s'opposent avec détermination et courage à cette politique. Partie prenante du mouvement social d'opposition à la politique du gouvernement, elles et ils ont ouvert la voie en brisant l'interdiction de manifester le 20 mai 2020 et en construisant un mouvement qui a investi la rue et les routes de France avec les Acte 1, 2, 3 et 4. C'est l'égalité qu'on étouffe. C'est l'avenir qui étouffe. De l'air! Le 20 mars on manifeste pour: • La liberté de circulation et d'installation. La régularisation des sans-papiers. • La protection automatique, dès leur arrivée, des jeunes étranger-ère-s isolé-e-s • La fermeture des centres de rétention. • L'égalité des droits pour touTes dans tous les domaines (travail, logement, santé, éducation…). • Le droit de vote des étrangerEs. • La fin des contrôles au faciès et des violences policières. • Vérité et Justice pour les familles de victimes. Abrogation de la loi sécurité globale.
Le 115 (logement d'urgence) saturé et une préfecture qui ne répond pas à son devoir d'asile. Dans les jours prochains, des dizaines de personnes vont se retrouver à la rue! Nous exigeons l'ouverture d'un centre d'hébergement ouvert 365j/365, 24h/24, sans aucune condition. La violence et le racisme d'Etat font ainsi des ravages dans les quartiers, dans les manifestations, au CRA, contre les migranTEs. Les forces de l'ordre sont là pour surveiller, punir, et réprimer les classes populaires et les personnes racisées, migrantes ou non. Nous sommes face à un système qui favorise la montée du racisme, de l'islamophobie, des idées les plus nauséabondes, qui nie les droits humains les plus élémentaires. L' inter-organisations de soutien aux personnes exilées appelle à manifester: A l'appel de: Awa Gueye et le Collectif Vérité et Justice pour Babacar Gueye – Attac Rennes – NPA Rennes – MIDAF – UL-CNT35 – JC35 – UCL Rennes – Cimade 35 – ACE – Ensemble 35 – GT Migrants FI Rennes – LDH Rennes – ICEM35-Pédagogie Freinet – FSU 35 – DAL 35 – PCF Rennes – Utopia56 rennes – UTUD – Solidaires 35 – GL 14/10 Tract_20_03_21 Nous sommes aussi signataires de l'appel national: