Gauchos Argentins : La Vie De Gaucho En Argentine - Terra Argentina
le chasque était le gaucho qui avait la tâche de faire le coursier à travers la pampa. Eh oui, les gauchos étaient également en charge du service postal de l'époque! Le payador était un musicien itinérant. C'est un maître dans l'art de l'improvisation. Donc si un payador en rencontrait un autre, ils se livraient à un duel de payadas. Les gauchos d'Amérique du Sud (Argentine, Chili, Patagonie, Uruguay, Equateur, Brésil...). Il s'agit d'un chant: le payada de contrapunto. Le rastreador était le chasseur par excellence. Capable de comprendre mieux que personne les pistes et les empreintes dans la nature. Il était souvent engagé pour retrouver des animaux ou des personnes disparus. Le gaucho: un travailleur à cheval Quelque soit leur spécialité, les gauchos avaient tous un point commun: ils étaient des cavaliers extraordinaires. Aujourd'hui il n'existe plus de vrais gauchos illustrant le mythe de l'homme sombre et solitaire parcourant les grandes plaines argentines. Néanmoins le terme de gaucho désigne toujours le paysan argentin, excellent cavalier, vivant de l'élevage (bovin et ovin) et des activités économiques et culturelles dérivées (consommation de viande et utilisation du cuir).
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Les gauchos n'eurent pas toujours une très bonne réputation. Au 17ème siècle, ils furent plutôt considérés comme des voleurs de chevaux ou des vagabonds. L'Argentine d'avant 1856 était un ensemble de provinces où les gauchos vivaient librement, faisant principalement de l'élevage de bétail dans les vastes territoires de la pampa. Pour le gaucho, vivre libre et vivre dehors, c'était la même chose. Seul l'élevage du bétail l'intéressait vraiment comme occupation, car ce travail lui accordait cette liberté de mouvement essentielle à son bonheur. Les gauchos aiment le silence et la solitude des grands espaces. Ils passent souvent toute leur vie dans la Pampa. Le bruit, les lumières, la vitesse de la ville ne conviennent pas à leur tempérament. Ils sont apparemment timides, refermés sur eux-mêmes mais, dès qu'ils se retrouvent entre eux, ils commencent à raconter des histoires et à rire ensemble. Les gauchos d argentine cuisine. En 1856, quand le gouvernement décide, pour faire entrer de l'argent dans les coffres de l'État, de mettre les terres du pays en vente, c'est le début de la fin pour le mode de vie traditionnel des gauchos.
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Le cheval est d'abord attaché à un poteau, sans monture. Le Gaucho, habillé de façon traditionnelle, devra alors sauter sur le cheval qui est simultanément détaché. Commence alors le plus dur de l'épreuve: rester sur le cheval! Vous en apprendrez encore davantage sur cette culture le lendemain, 17 juin, qui célébre la mort du commandant Martín Miguel de Güemes. Chaque 17 juin, la ville de Salta s'habille pour rendre hommage à son citoyen le plus illustre. Un véritable héros de la patrie, né le 8 Février 1785 qui lutta pour l'indépendance nationale jusqu'à sa mort. La veille du défilé commence une veillée avec des gauchos là où il repose: au pied du Cerro San Bernardo. Le gaucho argentin : l’homme libre de la Pampa. Les feux sont allumés et le lever du soleil est attendu avec impatience pour continuer dans les rues et devant la scène principale les différentes manifestations de soutien. L'esprit de ses disciples se manifeste dans les festivités, où les costumes rouges et noirs abondent et où chaque homme, femme et enfant ressent véritablement l'acte d'hommage.
La culture argentine est riche et variée. Parmi tous les mythes qui existent, la figure du gaucho est de loin la plus représentative d'une certaine identité argentine. Une identité rurale, populaire et traditionnelle. Alors, que nous dit le mythe du gaucho? Qui est cette figure centrale qui représente beaucoup en Argentine? Portrait du gaucho Pour commencer, voici quelques caractéristiques du gaucho. Les gauchos d argentine. Tout d'abord, il y a la vie équestre, l'alimentation carnivore, les rudes intempéries, les vents toniques de l'océan et de la Pampa l'ont façonné maigre, dur et agile. Puis, notons que le désert et la solitude l'ont fait taciturne et silencieux. Ensuite, la liberté et l'abondance l'ont fait hautain mais hospitalier et loyal. Pour ce qui est de l'héritage qu'il a recum on peut dire que du conquistador il aura reçu le cheval et la guitare. Et de l'indien, le poncho, le bandeau, le maté et les boleadoras. Enfin, son langage mélange l'espagnol archaïque à des éléments indigènes auxquels s'ajoutent quelques notes portugaises et africaines.