Pierre Des Soignants
Les personnels du social et du médico-social se sont rassemblés à Rouen le 30 novembre pour demander la revalorisation de leurs professions et l'inclusion dans les accords Ségur. Par Margot Nicodème Publié le 30 Nov 21 à 17:15 Ici, à Rouen (mais aussi à Caen), les personnels des filières du social et médico-social sont venus dénoncer le manque de moyens dans leur secteur d'activité. Corinne (deuxième à g. ) détaille les difficultés rencontrés dans la structure dont elle est directrice, à Saint-Aubin-lès-Elbeuf. Les salariés du social et médico-social rassemblés à Rouen : "Nous sommes des invisibles" | 76actu. (©MN/76 actu) « On s'occupe des invisibles, mais nous aussi, nous sommes des invisibles. » Les personnels des filières du social et du médico-social se sont rassemblés mardi 30 novembre 2021 à Rouen (Seine-Maritime) et à Caen (Calvados) pour, espèrent-ils, enfin bénéficier de la reconnaissance de leurs métiers, principalement dans les structures pour personnes handicapées. Si le Premier ministre a annoncé, le 8 novembre 2021, que les personnels soignants – médecins, infirmiers, aides-soignants, etc. – au sein de ces établissements bénéficieraient prochainement des accords Ségur (+ 183 euros nets par mois), les fédérations ne s'en satisfont pas.
Pierre Des Soignants Des
Après l'épisode agité de la semaine dernière entre forces de l'ordre et manifestants opposés à l'obligation vaccinale et au Pass sanitaire, l'intersyndicale de la santé s'est mobilisée devant l'hôpital lundi 18 octobre 2021. Les soignants étaient tous vêtus de blanc, symbole de paix. Guy Etienne • Publié le 18 octobre 2021 à 15h00, mis à jour le 18 octobre 2021 à 22h23 Vendredi 15 octobre 2021, les images de l'affrontement entre gendarmes mobiles, manifestants et soignants contre le Pass sanitaire et la vaccination obligatoire souhaitant accéder à leurs services, ont fait le tour des réseaux sociaux. Affrontements à l'entrée de l'hôpital Pierre Zobda Quitman (vendredi 15 octobre 2021). ©RS Trois jours après, l'intersyndicale qui a dénoncé un "état de siège", reste sur sa position, mais en affichant du blanc comme couleur dominante, lors d'un sit-in lundi 18 octobre 2021. Pierre des soignants des. Quelques centaines de personnes ont répondu à l'appel et pas seulement des agents hospitaliers, une matinée marquée par des prises de parole.
Pierre Des Soignant.Com
Le CHU Saint-Pierre expose les illustration du dessinateur Plantu jusqu'au 31 août. Cette exposition est une première en Belgique. Le dessinateur de presse français Plantu a dévoilé mardi une exposition de ses illustrations sur la pandémie de coronavirus au CHU (Centre Hospitalier Universitaire) Saint-Pierre, en présence du bourgmestre de la Ville de Bruxelles Philippe Close (PS). Pierre des soignants le. Elle a déjà été présentée dans 33 hôpitaux français, mais il s'agit d'une première en Belgique. Une quarantaine de dessins seront exposés jusqu'au 31 août dans l'entrée, mais aussi dans les différents étages du CHU. «C'est un merci silencieux, une manière de poursuivre les applaudissements de 20h00», a expliqué Plantu. «Quand les médecins et infirmiers passeront devant les dessins, s'ils se sentent seuls, ils se rappelleront qu'ils sont soutenus par la population, que les gens sont sensibles à l'énergie qu'ils dépensent par vocation pour les autres. C'est un geste d'empathie, des mains graphiques tendues». Vulgariser l'info La crise sanitaire ayant accaparé l'actualité pendant deux ans, Plantu avait aussi une quantité importante de dessins sur ce seul sujet.
"Il y a des différences importantes dans ces résultats en fonction des régions. Ils sont plus élevés au sud par rapport au nord du pays", indique Arnaud Bruyneel. " Le facteur le plus important, c'est l'environnement de travail: il influence grandement le risque de burn-out et l'intention de quitter la profession ". C'est sur ce point qu'il estime un travail nécessaire dans les prochaines années. "L'environnement de travail est l'élément sur lequel il faut jouer. C'est très très vaste et il faut investir pour pouvoir retenir les infirmiers". Près de 75% des infirmiers se plaignent également de leur salaire, considéré trop faible. Isère. Bourgoin-Jallieu : pédopsychiatre au CHPO, il photographie les soignants de l’hôpital pour leur rendre hommage. "Il n'y a pas que ça: la charge de travail, est-ce que l'on donne des soins de qualité... Je pense que ça aussi c'est l'un des critères important". Le rapport propose aussi un plan d'action pour réenchanter la profession: " On l'a dit, l'environnement de travail d'une manière globale. Une meilleure reconnaissance, une déclaration de la pénibilité, de meilleurs salaires... ".