Cas Pratiques En Droit Fiscal
Énoncé du cas pratique Correction du cas pratique Énoncé du cas pratique Maurice exploite depuis trente ans un fonds de commerce de vente de chemises pour hommes dans le centre-ville de Bordeaux. Depuis l'ouverture de son fonds de commerce il y a bientôt vingt ans, Maurice n'a connu que des bonnes années. Toutefois, Maurice a maintenant 68 ans et souhaite arrêter son activité. Maria a entendu parler de son souhait de céder son fonds de commerce. Maurice et Maria se sont donc rapprochés pour discuter des divers documents au regard de la cession. À l'occasion d'une de ces diverses rencontres, Maria a appris que les locaux occupés par Maurice sont en réalité occupés au titre d'un bail commercial, consenti par Mme de Rispal. Maria a donc décidé de se rapprocher de Mme de Rispal pour discuter de la cession du fonds de commerce concerné. Cependant, Mme de Rispal ne souhaite pas renouveler le bail. Pour la propriétaire, la clientèle du commerce n'est pas celle de Maurice, mais la sienne. « J'en suis la propriétaire, après tout » fustige-t-elle avant de poursuivre « je veux récupérer mon local, puis le mettre en vente!
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Son chiffre d'affaire est de 10 000 000 euros. Toutes les opérations suivantes ont été enregistrées en comptabilité sauf précision contraire. A.... L'application de l'impôt sur le revenu (6 mini cas pratiques) Cas Pratique - 2 pages - Droit fiscal M. X est marié et a 4 enfants. Le fils ainé, âgé de 24 ans, est étudiant et marié avec une étudiante. Ce jeune couple a disposé pour l'année 2012 d'un revenu de 3 200 euros provenant du versement de salaires au fils ainé. Le second enfant, âgé de 20 ans, ne dispose pas de ressource et est encore... La territorialité de la TVA (14 mini cas pratiques) Cas Pratique - 2 pages - Droit fiscal Les opérations suivantes sont-elles imposables ou non en France à la TVA? A. L'expédition des machines-outils par une société située au Havre (76) à destination d'une société établie à Dresde (Allemagne)? B. L'importation par une société domiciliée à Caen... Ensemble de dix cas pratiques sur le thème de la TVA immobilière Cas Pratique - 8 pages - Droit fiscal Vente d'un terrain à bâtir par une SAS, assujettie à la TVA, à une SA qui exerce une activité industrielle pour un prix de 200 000 euros.
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è Exercice souvent juger facile par les étudiants, mais il ne faut pas se laisser piéger: le travail demandé consiste à sélectionner ce qui correspond le plus à la question qui se pose et non pas à réciter l'intégralité de son cours! è Ce n'est pas tellement la solution du cas que vous donnerez qui est importante (c'est important mais pas le plus important... ) mais votre raisonnement. Résolution du cas pratique: 1. Le rappel des faits Il convient de sélectionner les faits les plus pertinents pour résumer et qualifier (càd traduire les faits en termes juridiques) correctement la situation de fait. Cela permet de savoir quels problèmes on veut résoudre. - résumer: sélectionner uniquement les faits utiles au raisonnement que vous allez soutenir - qualifier: traduire les faits en termes juridiques (implique de connaître son cours, d'avoir lu les qualifications juridiques auxquelles ces qualifications se rapportent). Il faut parfois (dès que cela est possible) justifier la qualification choisie grâce à sa définition - identifier le(s) problème(s) juridique(s) que l'on veut résoudre: il convient ensuite de traiter ce(s) problème(s) séparément, dans un ordre logique, en respectant une présentation rigoureuse.
Cas Pratique Droit Fiscal Des Affaires Économiques
Il y a donc lieu dans ce cas de faire un renvoi aux règles de l'entreprise individuelle selon l'article 60 du CGI. Cela signifie donc que si la société exerce une activité commerciale au sens de l'article 34 du CGI il faudra appliquer le régime des BIC. [... ] [... ] Par application de l'article 38 quater de l'annexe 3 du CGI, il y a une divergence entre la règle comptable et la règle fiscale, comme comptablement on constate une charge de 50 000 € alors que fiscalement la charge n'est pas déductible. Il faudra donc faire une réintégration extracomptable de 50 000€. E. Monsieur DI est mis en examen Mis en examen pour délit de corruption, Monsieur DI a constitué une provision de 20 000 € le 1er novembre 2015 pour faire face au paiement de l'amende pénale susceptible d'être encourue. ] Ensuite, il y a des conditions fiscales de déductibilité de la charge par application de l'article 39-1 1° du CGI. En effet, il faut une diminution de l'actif net, que la dépense ait été faite dans l'intérêt de l'entreprise que la charge soit enregistrée en comptabilité et que la déduction ne soit pas limitée ou interdite par la loi.
Cas Pratique Droit Fiscal Des Affaires Culturelles
En l'espèce, le maintien artificiel de l'activité de la société se caractérise par le fait que René ait conclu un contrat d'affacturage à un taux exorbitant de 19, 5%. Dans un arrêt rendu par la Chambre criminelle le 13 mai 1991, elle qualifiait le taux d'un contrat d'affacturage de 15, 9% comme générateur de « frais financiers importants (... ) considéré même comme insupportable » pour l'entreprise. Ainsi, un taux à 19, 5% est encore plus intenable pour la SARL de Bruno. De plus, il faut avoir adopté ce comportement intentionnellement dans le but de repousser le dépôt de bilan. Or, il est indiqué que Bruno, craignant le dépôt de bilan, qui s'avérait imminent, a décidé de conclure le contrat d'affacturage. C'est donc bien pour repousser la date de dépôt de bilan que Bruno a conclu ce contrat. Or cette situation, qui remplit toutes les conditions de la banqueroute, met potentiellement en péril la situation des créanciers de la société. Bruno encourt donc, d'après l'article L. 654-3 du Code de Commerce, « cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende ».
II) Quelles seraient les conséquences pour chacun des associés si Elthiecos and Co rachète ses propres titres et réduit son capital de moitié? Pour chacune de vos réponses aux questions qui précèdent, vous calculerez (i) le montant des sommes réparties à chacun des associés (ii) le montant de l'éventuel revenu imposable et, dans ce cas, vous indiquerez la catégorie d' imposition dont relève le revenu. Solution Question 1 En cas de réduction pure et simple, la présomption de distribution des réserves énoncée à l'article 112-1 du CGI s'applique. La règle d'imputation prioritaire posée par ce texte consiste à présumer que la répartition ne peut être traitée comme un remboursement d'apport non imposable qu'à la seule condition qu'il n'y ait plus dans les comptes de la société de bénéfices non distribués. Autrement dit, les sommes distribuées sont fiscalement considérées comme étant imputables en priorité sur des comptes de réserves et ce n'est que dans l'hypothèse où le remboursement excède le montant des réserves que l'imputation de la réduction de capital se fera sur le compte capital.