Code De Procédure Civile Article 361 »Lois De La République De Turquie - Hmk
Article 910 Du Code De Procédure Civile.Gouv
Cependant, lier le fait que « les parties avaient été convoquées à une réunion d'information sur la médiation » avec le constat « qu'il n'était pas démontré qu'elles s'étaient accordées sur la nécessité de poursuivre la médiation à l'issue de cette réunion d'information » pourrait paraître ambigu, comme si cette dernière assertion pouvait être un cas d'interruption. Car l'on s'empressera d'ajouter qu'un accord des parties à poursuivre une médiation n'est pas plus interruptif qu'une réunion d'information, seule l'ordonnance de médiation étant interruptive selon les termes, clairs, de l'article 910-2, sauf à ce que l'ordonnance elle-même constate cet accord… L'équivoque provient peut-être de là puisque l'article 131-6 mentionne notamment que « la décision qui ordonne une médiation mentionne l'accord des parties ». L'accord des parties et l'ordonnance ici se confondent. En effet, toutes réunions d'information, tentatives de mise en place d'une médiation ou pourparlers transactionnels ne sont bien évidemment pas interruptifs des délais des articles 908 et suivants, prévus à peine de caducité ou d'irrecevabilité.
Avec le règlement pris au premier paragraphe de l'article, il a été précisé que les règles relatives à l'interdiction et aux motifs de refus seront également appliquées aux experts, et donc le fait que l'expert se trouve dans la position de l'assistant du juge a a gagné en importance et vient au premier plan. Par ailleurs, dans le même règlement, il était également précisé que, contrairement aux juges, le fait que l'expert ait été entendu comme témoin dans la même affaire ou dans le même travail ne constituerait pas un motif de refus. Dans le deuxième paragraphe de l'article, si l'un des motifs d'interdiction concernant les juges est réalisé en la personne de l'expert, le tribunal peut révoquer l'expert d'office; Il existe un règlement qui donne à l'expert la possibilité d'exiger le renvoi du tribunal en démontrant qu'il ne peut pas agir de manière impartiale. Le législateur a supposé que le juge ne pouvait pas se comporter de manière absolument impartiale dans les cas où les motifs d'interdiction devenaient effectifs et le laissaient dans l'obligation de se retirer de l'examen de l'affaire.