Des Gens Qui Font L Amour
Dans une période d'inquiétude, on a besoin de se dire que des choses vont bien, que partout des gens font de belles choses. Il faut mettre cela en lumière. C'est notre travail et je dirai même qu'il est parfois difficile de trouver des sujets où tout va bien. Mais avec Julian Bugier nous le faisons. Parlez-nous de votre duo avec Julian Bugier... Très agréable. Nous ne nous connaissions pas avant son arrivée et pourtant nous avons rapidement créé une complicité. Ce duo marche très bien. C'est un journaliste très positif avec plein d'idées. Quel est l'avenir d' «Une idée pour la France»? Nous avons envie de la faire perdurer. Nous cherchons des solutions pour l'ouvrir un peu et la faire évoluer. Pourquoi pas se pencher sur les initiatives à l'étranger? Du moins en Europe. Une idée pour la France pourrait étudier si une initiative non française peut s'appliquer ou non dans notre pays. J'aimerais aussi beaucoup retourner en Outre-mer et mettre en lumière les idées positives.
Des Gens Qui Font L Amour Les Remplace
Il peut parfois être difficile de se contrôler quand on est un couple. Certains sont même incapables de se rendre dans le motel le plus proche et se contentent de laisser libre cours à leurs pulsions en public en espérant (ou non) que personne ne les attrape. Bon. Des fois, la chance n'est tout simplement pas de leur côté. Voici les 10 endroits les plus bizarres où des gens ont été attrapés à faire l'amour. 1- Dans les gradins d'un stade Commençons « doucement » avec ce gentil trio qui, s'ennuyant profondément pendant le match de leur équipe favorite, a décidé de se tripoter dans le gradin du Fenway Park sous le regard attentif d'un spectateur. Celui-ci a décidé d'abandonner ses jumelles pour regarder de ses propres yeux un spectacle beaucoup plus excitant. 2- Dans les toilettes d'un stade Ah! Les toilettes publiques! Un classique! Un couple, entre deux manches, a décidé de faire l'amour dans les toilettes du Yankee Stadium. La flaque d'eau par terre ne semblait même pas les déranger.
Des Gens Qui Font L'amour 2
On prône avant tout l'intergénérationnel, c'est l'ADN de notre chronique. Nous avons par exemple parlé de colocations entre des jeunes étudiants et des personnes âgées ou encore des promenades à vélos. Ensuite il y a la thématique de l'écologie puis le vivre ensemble. Ce qui est intéressant c'est de faire valoir des idées «duplicables». Gardez-vous en mémoire un sujet marquant? Je me souviens de «l'hôpital pour les nounours». L'idée est de dédramatiser le monde du médical pour les enfants. Des membres du personnel médical sensibilisent les plus jeunes. Accompagnés de leurs doudous, on leur montre toutes les étapes d'une consultation et autres examens comme la radiologie, les piqûres... J'ai été très sensible à cette initiative. En réalité, plein de sujets me traversent l'esprit. Cette chronique est un vrai lieu de rencontres. Les audiences du «13 Heures» sont en hausse. Diriez-vous que cette chronique positive est l'une des raisons? J'ai vraiment l'impression que nous répondons à des besoins et des demandes.
Je suis plus à l'aise dans cet exercice-là que l'actualité pure et dure. Comment trouvez-vous vos sujets de chronique? Nous avions lancé un appel à nos téléspectateurs en leur demandant de nous envoyer leurs idées. Très rapidement beaucoup de propositions sont remontées. Chez France Télévisions, nous disposons d'un gros réseau régional partout en France. Nous préparons donc «Une idée pour la France» avec nos collègues proches des initiatives locales. Un effet boule de neige se créer entre les téléspectateurs et nos correspondants présents sur les territoires. On s'imprègne de ce qu'on voit autour de nous, on lit, on se renseigne... Nous ne manquons jamais de sujets. Le «13 Heures» s'est délocalisé à plusieurs reprises. Votre chronique est-elle un moyen de maintenir un lien hebdomadaire avec l'ensemble des régions? Oui bien sûr. Pour nous, c'est important de maintenir un lien avec les territoires. On a envie de parler des villes mais aussi des petites communes. Tous les lundis et les jeudis, en quatre minutes, nos reportages renforcent ce lien avec les téléspectateurs.