Le Silence Des Bêtes Vincent Munier
» En 2017, il proposa à l'écrivain Sylvain Tesson, qu'il avait croisé plusieurs fois et qui avait émis le désir de le suivre en affût, de partir avec lui sur les traces de la panthère des neiges, en compagnie de la cinéaste Marie Amiguet et de l'assistant-réalisateur Léo-Pol Jacquot. Sylvain Tesson est un auteur passé du statut d'écrivain voyageur à celui d'écrivain tout court en recevant le prix Goncourt de la nouvelle 2009 pour Une vie à coucher dehors, et le prix Médicis essai 2011 pour Dans les forêts de Sibérie. Marie Amiguet, biologiste de formation, titulaire d'un Master de l'IFFCAM, Institut Francophone de Formation au Cinéma Animalier de Ménigoute, a co-réalisé Picci toubab, l'oiseau des blancs en 2014 et fait l'image de La Vallée des loups de Jean-Michel Bertrand en 2016. En 2017, elle a signé avec Vincent Munier Le Silence des bêtes, plaidoyer contre le braconnage des lynx. Genèse du projet Vincent Munier a entrepris huit voyages au Tibet, dont les deux derniers avec Sylvain Tesson « pour élargir le spectre, en quelque sorte.
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Pour leur faire comprendre que le seul danger sur cette terre, c'est nous qui le représentons et que toutes les espèces ont le droit de vivre. Toutes aiment, souffrent, pleurent. Le membre suivant remercie pour ce message: Le silence des bêtes de Vincent Munier Page 1 sur 1 Permission de ce forum: Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Petite Feuille:: LIFESTYLE~SANTÉ~BEAUTÉ~ANIMAUX:: Nos amis les bêtes
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VIDÉO. Dans une magnifique vidéo intitulée "Le silence des bêtes", Vincent Munier, célèbre photographe animalier, lance un coup de gueule poétique contre le massacre des lynx, encore présents dans le Jura. "Pour combien de temps? " s'interroge-t-il. Dans une vidéo de 4 minutes, Vincent Munier, photographe originaire d'Épinal et réputé pour ses clichés animaliers d'une beauté poignante, fait voir au monde la splendeur silencieuse de la nature dans une vidéo qui dénonce le braconnage des lynx. Cette dernière a été partagée sur la page Facebook de Vincent Munier a été partagée plus de 3 400 fois. Les images montrent deux d'entre eux, dans leur milieu naturel, vacant à leurs occupations d'animal sauvage et libre. "Lynx mâle criblé de 120 plombs de chasse" Le ton de la vidéo se veut plus grave, lorsqu'un coup de feu s'immisce dans la bande son et que l'on comprend que l'un des animaux en question a été tué par des chasseurs. "Lynx mâle criblé de 120 plombs de chasse" peut-on lire sur l'un des plans de la vidéo.
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Le 01 décembre 2021 par Jordane Rommevaux Vincent Munier, à gauche et Sylvain Tesson, sont à l'affut de la panthère. © Capture d'écran du film La Panthère des neiges Le photographe animalier vosgien, Vincent Munier, s'est entouré de l'auteur Sylvain Tesson et de sa compagne, la réalisatrice Marie Amiguet pour proposer un documentaire aussi fascinant qu'envoutant, sur les traces de la panthère des neiges, au Tibet. Sélectionné au dernier Festival de Cannes, ce film est à découvrir dans les salles de cinéma à partir du 15 décembre. Rencontre avec Vincent Munier et Marie Amiguet. P ourquoi avez-vous décidé de focaliser votre reportage sur la panthère des neiges? Vincent – Je l'ai découverte à travers les récits d'aventure du biologiste américain George B. Schaller. Dans le Chitral, au Pakistan, il l'avait filmée dans les années 1970. Je suis parti au Tibet en 2011 pour la première fois et j'ai mis un mois à observer ses traces, sans jamais la voir. C'est finalement le yack sauvage, certainement un descendant du mammouth laineux, qui m'a attiré sur ces hauts plateaux.
L'immensité à perte de vue, que nous pouvions associer aux nombreuses vidéos animalières que Vincent avait accumulées lors de ses 5 voyages précédents, nous offrait matière à faire. Quand a débuté le tournage? Vincent – Il s'est effectué en plusieurs parties. La première était en septembre 2018, pendant la saison des amours. Nous avions donc plus de chance de voir la panthère. Il ne faut pas oublier que c'est un gros chat qui peut dormir très longtemps. Nous devions donc tabler sur une période de l'année où il allait sortir plus longtemps. Nous sommes revenus, ensuite, en septembre 2019, avec de très belles images de la panthère et des paysages. Personnellement, moi j'y étais déjà allé en 2011. La différence qui nous a contraints lors du tournage en 2018 et 2019 était sur la situation politique. Il était difficile, par moments, de faire comprendre aux locaux que nous n'étions là que pour filmer une panthère. Comment avez-vous préparé les tournages? Vincent – Il y a eu beaucoup de repérages avant de choisir les sites idoines pour filmer.