La Princesse De Clèves Theatre
Roman étonnamment moderne qui a pour héroïne le " modèle le plus achevé de la pudeur discrète et réfléchie ", La Princesse de Clèves est au programme du bac de français 2020-2021. Nous verrons comment utiliser Gallica pour l'étudier en classe de première. La Princesse de Clèves, Comtesse de La Fayette, illustré par Serge de Solomko, F. Ferroud, Paris, 1925. Comprendre et s'approprier le roman On peut découvrir le roman dans l'édition recommandée par Gallica, mais aussi admirer la superbe édition illustrée par Serge de Solomko. L'essai Mme de La Fayette propose un résumé du roman. Histoire du roman moderne permet de replacer La Princesse de Clèves dans l'histoire du roman, et de comprendre l'évolution du genre vers le roman psychologique. Le roman d'une précieuse Le roman accorde une place importante à l'amour et il est l'œuvre d'une précieuse. Toujours dans Histoire du roman moderne, René Albérès établit un parallèle entre L'Astrée et La Princesse de Clèves et explique en quoi le roman de Mme de La Fayette est un roman précieux, " en "analysant" les sentiments et en les transformant en casuistique ou en rhétorique ".
La Princesse De Clèves Theatre Seattle
En 1996, Marcel Bozonnet crée ce véritable petit bijou de théâtralité avec la précision de l'orfèvre. Un solo jubilatoire où, dans un parcours d'émotions funambule, un homme se fait porte parole des pensées les plus intimes d'une femme. L'occasion d'un éloge de cette langue du XVIIème siècle taillée avec tant d'élégance pour évoquer le destin d'une vie qui balance entre le désir et la vertu. De Caracas à Saint-Pétersbourg, d'Alger à Londres et Moscou, le spectacle a fait le tour de la planète mais sans jamais avoir été joué dans le petit théâtre de l'Elysée. Depuis près de quinze années, Marcel Bozonnet en a fait la pièce de sa vie. Un rendez-vous intime où revenir vers "La Princesse de Clèves" lui permet de retrouver une amie et une confidente dont il ne saurait se séparer jamais. "La Princesse de Clèves", m. e. s. M. Bozonnet, présentation Image d'une critique concernant Bozonnet et la « Princesse de Clèves »: dix-huit ans que ça dure Par Jean-Pierre Thibaudat lundi 13 janvier 2014 Image d'une critique concernant La Princesse de Clèves Par Manuel Piolat Soleymat jeudi 19 décembre 2013
La princesse de Clèves, texte de Madame de Lafayette Théâtre de l'Échangeur, à Bagnolet (93) Huit heures! Huit heures d'un théâtre rare, subjuguant, envoûtant. Huit heures (entractes compris! ) d'un spectacle tout en intelligence et frémissements. Huit heures de représentation dont la durée effraie d'abord mais dont on voudrait très vite qu'elle se prolonge encore. Captivé, transporté à mille lieues du monde qui s'agite à l'extérieur, dans la ville, dans les rues. Projeté dans un temps hors du temps… C'est La Princesse de Clèves, telle que la met lumineusement en scène Magali Montoya, dans sa version intégrale L'aventure est folle. La jeune femme en convient. Elle est née, il y a quatre ans, lorsqu'un ami – le metteur en scène Jean-Marie Patte – lui offre le roman, en précisant: « Ça, c'est pour toi! ». Dans la nuit même, elle le lit. Redécouvre ce chef-d'œuvre, dont, comme beaucoup, elle n'avait que des souvenirs vaguement scolaires. Se met à en « rêvasser », comme elle dit. Décide de l'adapter en une version scénique d'une heure environ – « un format normal ».