Étude De Cas Cybersécurité
« Payer les cybercriminels pour restaurer ses données n'est pas une stratégie de protection des données. Il n'existe en effet aucune garantie de récupérer les données, les risques d'atteinte à la réputation et de perte de confiance des clients sont élevés et, surtout, cela alimente une prophétie autoréalisatrice qui récompense une activité criminelle. » Payer la rançon n'est pas une stratégie de récupération des données Parmi les entreprises interrogées, la majorité (76%) des victimes de cyberattaques a payé la rançon pour y mettre fin. Étude de cas cybersécurité de la. Tandis que les 52% ayant cédé au chantage ont pu récupérer leurs données, les 24% restantes n'y sont malheureusement pas parvenues, ce qui signifie que, dans un cas sur trois, le versement de la rançon ne permet pas de retrouver ses données. Il est à noter que 19% des entreprises n'ont pas eu à payer car elles ont pu restaurer leurs sauvegardes. C'est précisément l'objectif de 81% des victimes de cyberattaques. « L'une des caractéristiques d'une stratégie solide de protection moderne des données est l'engagement d'appliquer une politique claire selon laquelle l'entreprise ne payera jamais de rançon mais fera tout ce qui est en son pouvoir pour prévenir, résoudre et récupérer des attaques », ajoute Danny Allan.
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L'adoption de NIS 2 pas avant avril 2024 en France La v2 de NIS prévoit des exigences plus strictes en matière de sécurité informatique des organismes critiques, et aussi des sanctions associées incluant des amendes, en cas de non conformité. Dans le document présenté par l'UE, plusieurs leviers d'action sont prévus: résilience, souveraineté technologique et leadership, renforcement des capacités opérationnelles pour prévenir, dissuader et réagir et faire progresser un cyberespace mondial et ouvert grâce à une coopération accrue. Étude de cas cybersécurité gouvernance citoyenneté et. Parmi les domaines abordés par NIS 2: l'hygiène informatique de base, la formation à la cybersécurité, l'utilisation de la cryptographie, la sécurité des ressources humaines, les politiques de contrôle d'accès et la gestion des actifs. Ou encore la réponse aux incidents et la gestion des crises, la gestion et la divulgation des vulnérabilités, et les politiques et procédures pour évaluer la l'efficacité des mesures de gestion des risques de cybersécurité. L'adoption définitive du texte par les États membres et le Parlement européen est calée en juin prochain pour une entrée en vigueur censée intervenir dès le mois suivant.
Pour y parvenir, les entreprises ont besoin d'une approche en matière d'authentification qui soit aussi forte que dans n'importe quel autre environnement et qui ne laisse aucune place au compromis. Étude de cas sur les CTAIR réalisée par l'OCDE ⋆ Diair. Pour cela, il est important de comprendre d'abord les besoins uniques de son environnement par rapport à une mobilité restreinte, de mettre en place une équipe interne élargie pour examiner ces exigences, ainsi que l'expérience et le retour des utilisateurs, puis de travailler avec un fournisseur de confiance pour installer une solution qui optimise à la fois la productivité et la sécurité. Il est également capital de ne pas oublier pas les utilisateurs. Avant d'opter pour une solution, l'équipe interne doit en effet analyser la meilleure façon de la mettre en œuvre au profit des personnes concernées, et être dotée de solides compétences en communication pour faciliter le processus de gestion du changement. La solution envisagée doit également offrir des capacités intuitives et des options de libre-service afin de responsabiliser l'utilisateur final et d'éviter des coûts d'assistance onéreux après la mise en œuvre.