Denoyez Et Chorques Commentaire D'arrêt
Accueil > Grands arrêts > Arrêt Denoyez et Chorques du Conseil d'État (10 mai 1974) jeudi 18 juin 2020, par Aline Beilin Un commentaire très clair de cet arrêt ici. Voir en ligne: L'arrêt
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Arrêt Denoyez Et Chorques
Accueil > Grands arrêts > Conseil d'État, 10 mai 1974 Arrêt DENOYEZ et CHORQUES mercredi 10 février 2021, par Aline Beilin | La jurisprudence Discrimination Liberté, égalité, fraternité Un arrêt très important de la justice administrative, qui précise le régime des services publics. Cet arrêt précise les conditions auxquelles on peut discriminer, par exception au principe de l'égalité des usagers devant les services public. Un arrêt pris à propos du passage du pont de l'ile de Ré. Voir en ligne: A consulter sur le site du CE
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Le Conseil d'État, dans un arrêt de section du 10 mai 1974, s' est pronon cé sur l'illég alité d'une diff éren ce de tari f lor squ'elle n'es t pas j ustifiée par u n int érêt général, une différ ence appr éciable entr e usager s ou une base lég ale. En l'espèce, par en arrê té pré f ector al du 22 mai 1970, le pr éf et de Charente-Mari time crée trois tarifs diff ére nts pour les usager s d'un back. Ce service public exploité en régie permet aux usager s de tra verser un point d'eau qui sépare deux zones géogr aphiques. T rois tarif s sont pré vus: un est accessible aux habitants de l'île, un tarif est prévu pour les habitants de la Charent e-Maritime et un tarif pour les personnes extérieur es. Deux hommes propriét aires d'une résidence de vacances souhaiten t voir annul er la décision par laquelle le pr éf et cr ée ce service. P ar deux rec ours adminis tr atif s intr oduits le 3 juin 1971 et 27 octobr e 1971 les usager s demandent au pré f et de les fair e bénéficier du tarif préf ér entiel.
Ce 10 Mai 1974 Denoyez Et Chorques
Dans son arrêt du 5 octobre 1984, Commissaire de la République du département de l'Ariège (req. n° 47.
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Entre autres questions, la responsabilité administrative pour le 1er arrêt et la... Arrêt Commune de Gennevilliers - 29/12/1997 Commentaire d'arrêt - 4 pages - Droit administratif Parmi les trois lois du service public figure celle posant un principe d'égalité devant le service public qui a valeur constitutionnelle depuis une décision du Conseil Constitutionnel du 27 décembre 1973. La section du contentieux dans l'arrêt du 29 décembre 1997 permet cependant de considérer la... Les grands arrêts du droit administratif Cours - 17 pages - Droit administratif Répertoire des grands arrêts du droit administratif. Explications sur chaque arrêt important du droit administratif. Ce cours est destiné tout d'abord à des étudiants en droit mais également aux personnes intéressées par le droit administratif. Commentaire de l'arrêt Commune de Gennevilliers Commentaire d'arrêt - 4 pages - Droit administratif La section du contentieux du Conseil d'État, dans cet arrêt du 29 décembre 1997, opère un revirement de jurisprudence relatif à la dérogation du principe d'égalité des usagers devant le service public pour un motif d'intérêt général.
13 mai 1994, commune de Dreux), aux personnes qui ne résident pas dans la commune mais qui ont un lien suffisant avec cette dernière. En ce qui concerne les services publics administratifs facultatifs, il faut également indiquer que dans des cas de plus en plus nombreux, le Conseil d'Etat avait été amené à admettre qu'une modulation des tarifs puisse être décidée en fonction des différences de revenus des usagers, l'intérêt général qui s'attache à ce que tous les usagers du service public puissent quelque soit leur niveau de revenu y avoir accès justifiant, dans ces cas, la dérogation au principe d'égalité. Le Conseil d'Etat a ainsi jugé que les tarifs d'une crèche pouvaient varier en fonction des ressources des familles " au nom de l'intérêt général qui s'attache à ce qu'(une) crèche puisse être utilisée par tous les parents qui désirent y placer leurs enfants, sans distinction selon les possibilités financières dont dispose chaque foyer " (CE, 20 janvier 1989, CCAS de La Rochelle). Il en a jugé de même pour les cantines scolaires (CE, 10 février 1993, Ville de La Rochelle) puis pour les centres de loisirs (CE, 18 mars 1993, Mme Dejonckeere et autres).