Cameroun Anglophone: Un Commando Attaque La Prison De Wum Et Libère 117 Détenus
Texte complet Date d'entrée en vigueur 38. Le directeur ou, en son absence, la personne qui détient l'autorité dans un lieu visé dans le présent article doit aviser immédiatement un coroner lorsqu'un décès survient: 1 ° dans un établissement de détention au sens de la Loi sur le système correctionnel du Québec ( chapitre S-40. 1); 2 ° dans un pénitencier au sens de la Loi sur les pénitenciers (Lois révisées du Canada (1985), chapitre P-5); 3 ° dans une unité sécuritaire au sens de la Loi sur la protection de la jeunesse ( chapitre P-34. 1); 4 ° dans un poste de police. 1983, c. 41, a. Les portes du pénitencier accords guitare. 38; 1991, c. 43, a. 22; 2002, c. 24, a. 204. 38. Le directeur ou, en son absence, la personne qui détient l'autorité dans un lieu visé dans le présent article doit aviser immédiatement un coroner lorsqu'un décès survient: 1 ° dans un établissement de détention au sens de la Loi sur les services correctionnels ( chapitre S‐4. 01); 2 ° dans un pénitencier au sens de la Loi sur les pénitenciers (Lois révisées du Canada (1985), chapitre P-5); 3 ° dans une unité sécuritaire au sens de la Loi sur la protection de la jeunesse ( chapitre P‐34.
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Ils ont également l'obligation de lire sa biographie. FAITS MARQUANTS Fawzia Ahmed dirigeait autrefois le quartier réservé aux femmes de la prison centrale. Elle a ensuite été arrêtée par les miliciens avant de réussir à fuir le Yémen. Mère de deux enfants et divorcée d'un homme qui a rejoint les rangs de la milice houthie, Fawzia a été le témoin des abus «épouvantables» que les Houthis ont commis à l'encontre des prisonnières dans cette immense prison. Les portes du pénitencier accords pdf. «Ils ont supprimé les autres activités. [Abdel Malik al-Houthi] interprète le Coran et ils prétendent vouloir propager le véritable islam», explique-t-elle avant d'ajouter que le quartier réservé aux femmes a dépassé sa capacité: elle est passée de cinquante prisonnières au début de l'année 2018 à plus de quatre cents depuis que les Houthis ont renforcé leur répression contre les femmes et les partisans de l'ancien président yéménite. «On leur criait dessus, on leur disait que la prison était pleine. Ces femmes ont été enlevées dans des restaurants, des parcs ou des rues.
Leurs crimes étaient de porter des tenues "osées", de côtoyer des hommes ou de marcher dans la rue sans être accompagnées d'un homme. Deux femmes ont été arrêtées parce qu'elles avaient conservé des photos de l'ancien président dans leur téléphone portable», témoigne-t-elle. Les portes du pénitencier accords 1. De fait, la milice houthie n'a pas respecté le code pénal du Yémen: elle a autorisé ses enquêteurs à interpeller les prisonnières à tout moment, même à minuit et à leur faire subir toute forme de tortures physiques et mentales afin de leur extorquer des aveux. Enfin, elle a laissé ses gardes entrer dans les cellules avec leurs armes et leurs matraques électriques. Selon Fawzia, les figures les plus odieuses et les plus redoutées parmi les Houthis sont Mohammed al-Makhethi, le responsable de la prison centrale, ainsi que plusieurs responsables dont les noms de guerre sont Abou Ammar, Abou Terab et Abou Raid. «Al-Makhethi est la personne la plus provocatrice. Il arrive à la prison à 2 ou 3 heures du matin pour interroger les prisonnières, seul, jusqu'au lever du jour.