Poeme Pour Ma Grande Soeur Qui Me Manque De Confiance
Cela surprendra sans doute nos meilleurs éléments - traduisez: celles d'entre vous qui pourront lire ce billet jusqu'au bout - coucou les abonnées! - (les autres, allez-y, c'est pas cher et ça me permettra de ne pas me faire virer tout de suite) (cliquez sur le machin idoine s'il vous plait) (merci) mais cette semaine, votre Dr Aga, chantre éternel des joies de la famille, des enfants aux joues veloutées et du Thermomix qui ronronne dans la cuisine, a envie de pousser un gros coup de gueule: La fête des mères, ça craint! Et pas tant à cause de Pétain ou parce que c'est le festival des fleurs qui ont pris l'avion, des pubs absurdes (offrez à votre maman le remonte-escalier de ses rêves), ou des à messages moches, mais parce que dans le fond, ça laisse beaucoup trop de gens sur le carreau. Des arguments? Les voilà: La fête des mères pétrifie de tristesse ceux avaient une maman super et qui ne l'ont plus. Grand-mere qui me manque - Messages et textes d'amour. La fête des mères bouleverse les enfants qui ont une maman nulle. - La fête des mères chavire les mamans qui ont des enfants ingrats.
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Il nous faudra du temps. Tu laisses un grand vide en mon coeur. Je me console en me disant que là où tu es, tu ne souffres plus. Petite soeur, je pleure lorsque j'écris ces mots. Je pleure lorsque je les relis. Je crois que c'est les mauvaises figures de style sur la boxe qui ne passent pas. J'ai retrouvé un vieux brouillon de poème. Mal fichu, maladroit, mais tu étais encore de ce monde lorsque je l'avais commencé. Aujourd'hui c'est le coeur serré que je le termine. J'y ajoute ce glaçant point final. Il n'y aura pas de suite. Il n'y aura pas de miracles. Dorénavant, il me reste nos souvenirs et des regrets. Les regrets du passé, les regrets de projets, ensemble, jamais accomplis. Dernière lettre de voyage à ma petite sœur. Je pleure ton départ petite soeur. Je pleure ta mémoire. Tu me manques. J'aurai aimé pouvoir te dire plus souvent que tu comptais beaucoup pour moi. J'aurai aimé être un peu à l'image de mon prénom, Pierre. Ce "roc" sur lequel tu pouvais, sur lequel tu aurais du te reposer. Un temps, il en fut ainsi. Et puis ma force s'est effrité à mesure que la rage et le désespoir de mon impuissance me gagnaient.
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Ce fut pour nous un grand huit émotionnel. Oscillant entre l'espoir de te voir sortir pour quelques temps encore avant de replonger brutalement. Et puis un matin, l'accalmie soudaine avant la tempête de larmes. C'est fini. Pas de Happy End comme dans les films. Lors de ma dernière visite, je ne t'ai pas dit adieu. J'espérais te revoir loin de ton lit d'hôpital. J'espérais te serrer une dernière fois dans mes bras. J'espérais te parler de mes dernières et prochaines aventures, te dire que je t'aime. J'ai appris la nouvelle dans mon lit, au matin. Poeme pour ma grande soeur qui me manque de sommeil. Je ne voulais pas y croire, comme dans un mauvais rêve. J'avais la voix chevrotante, lointaine. C'est une autre personne qui répondait mécaniquement à notre père en pleurs, ce n'était pas moi. J'ai mis ma douleur dans une boîte. Comme je le faisais depuis toujours. J'ai toujours été bon à ce jeu là. Je me suis forcé à me rendormir pour oublier. Comme si le sommeil allait chasser la réalité. Te voilà partie. Enfin je crois. J'ai du mal à m'y faire.
Derrière les frêles arbustes dans le jardin, on se disputait souvent alors, toi et moi, pour un tout, pour un rien. On tramait des complots invraisemblables pour retenir les rayons du soleil. On était insouciant du soir au matin, on se pardonnait tout. On chantait des chansons des Minikeums au ptit déj avant une partie de lego. Je te cachais tes poupées, tu me débranchais ma manette. A tes côtés, d'adolescent boudeur, je me transformais en gosse enjoué. Et puis, les années, indifférentes à ta douleur, sur nos vies ont coulé Elles ont bâti, brutalement, des murs qui semblèrent impossibles à abattre Et moi, je regardais et je regarde encore, pantin impuissant, ta lente agonie. Je t'ai perdu petite soeur. Longtemps, je le fus aussi. J'aurai rêvé, petite soeur, de pouvoir transporter le monde à tes pieds. Pour un dernier printemps en ta compagnie Pour un voyage irréel, de Paris à Beijing en passant pas Goa. J'aurai rêvé, petite soeur, de faire ce dernier voyage avec toi. Main dans la main, riant de tes maux Mais mon cœur s'est tû depuis que tu me regardes de là-haut.