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Si le verin est percé ( capsule), pas d'ouverture des volets => pression turbo trop importante. Sur C5 ca donne un defaut anomalie Anto pollution + ESP ASR, et c'est le meem moteur. la capsule de swirl coute 40€ Voila les photos de la capsule de Swirl. et là le coté bielette qui actionne l'axe des volets Teste là c'est visible mais il faut etre 2. Bon courage. [:lebaiton:3] j'ai controlé et a l'acceleration le levier s'actionne comme il faut, se que je trouve bizarre c'est que je n'est pas le voyant a chaque acceleration mais une fois de temps en tenps que pensez? Peut-être que le swirl se bloque de temps en temps. Y a-t-il un point dur sur l'axe des volets? C'est plutôt hyperstatique comme montage alors ça peut coincer. je controle ca des que possible et je te tirns au courant. sinon tu as verifié tes durites au turbo? Capteur de pression de turbo 406 hdi online. Je suis ok avec kgw, le montage a la tirette de ce swirl est plutot antimecanique. Il y a peut etre un dur ( volets encrassés? ). Actionne le manuellement pour voir. Sinon a part un probleme de connecteur sur une EV, je vois pas ce qui pourrait expliquer cette panne intermittente.
Or il n'en est rien: la liste de cas continue de s'allonger (6 morts et 50 cas recensés hier), ce qui laisse penser que Noroxo ne serait pas la seule source. Plus inquiétant: la maladie se déplace. Jusqu'à lors limitée dans un foyer de 18 communes à l'ouest de Lens, elle touche depuis quelques jours l'est de la métropole lensoise. Exemple: cette femme de 69 ans décédée dimanche qui habitait Hénin-Beaumont. « Nous sommes en face d'une nouvelle vague. Les derniers cas se trouvent à Hénin-Beaumont, Noyelles-Godault, Rouvroy et Drocourt. Donc, nous sommes obligés, même si c'est très peu probable, de nous interroger sur l'existence d'une autre source qui serait dans ce secteur », explique le préfet du Pas-de-Calais, Cyrille Schott. Des experts sur place Perplexes et un peu désarmés face à la situation, les autorités sanitaires n'écartent aucune piste. Trois usines (Tréfileurope à Loison-sous-Lens, Nexans à Sallaumines, et Lensoise du cuivre à Lens) sont surveillées de près: les analyses révèlent la présence de légionelle mais en quantité insignifiante.
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LA PRÃ? FECTURE du Pas-de-Calais continue tant bien que mal de parler de « cas groupés de légionellose » mais les médecins de la Ddass (Direction départementale des affaires sanitaires et sociales) n'hésitent pas à employer le mot « épidémie ». Subtilité de vocabulaire qui ne change rien à l'affaire: la maladie continue de s'étendre puisqu'un sixième mort a été annoncé hier soir, alors qu'il y a encore une semaine les autorités sanitaires jugeaient « peu probable » l'apparition de nouveaux cas. Le 23 décembre dernier, l'usine chimique Noroxo d'Harnes qui fabrique alcools et acides s'était révélée responsable de la légionellose de deux habitants de la région: la souche de la bactérie prélevée dans la tour aéroréfrigérante de l'usine était identique à celle retrouvée chez ces malades. Le site, déjà fortement suspecté, avait été désinfecté le 3 décembre. Le délai durant lequel se déclare la légionellose étant d'une quinzaine de jours, il paraissait donc impossible de voir apparaître de nouveaux malades au-delà de la mi-décembre.
En 1908, la petite fille d'Arthur, mademoiselle Morice-Stiévenart, épouse Georges Gaillard (sous-préfet). Lorsque Arthur meurt en 1910, c'est lui qui reprend la direction de l'entreprise qui prend le nom d' établissements Gaillard-Stiévenart. La guerre de 1914-1918 laisse la ville de Lens à l'état de ruine et il ne subsiste plus rien de l'entreprise. La câblerie Stiévenart vers 1900 1918 à 1944 Les établissements Gaillard-Stiévenart se reconstruisent alors sur un nouveau terrain, situé rue de Londres. La modernisation des mines imposa à la câblerie d'abandonner la fabrication à base de textile, car le nouveau matériel des houillères imposait l'usage du câble en acier. La nouvelle usine ouvra ses portes le 1 er août 1922 et constituait une des tréfileries d'acier dur et de câblerie d'acier les plus modernes d'Europe. En 1923, l'affaire de M. Gaillard se transforme en société anonyme avec la participation des mines de Lens et d'un groupe de tréfileurs anglais (pour un capital de neuf millions de francs).