Galerie Steph Simon Laplace
Accueil Ventes passées 2019 VENTE DE DESIGN ET ART CONTEMPORAIN Isamu NOGUCHI, Edition Akari pour la galerie Steph Simon, vers 1960 Rare et importante colonne lumineuse modèle "33N" en papier washi et tiges de bambou de forme organique formant un tourbillon à facettes stylisées (monogramme ancien). 175 x 60 x 60 cm Exposition: "Steph Simon", Galerie Downtown François Laffanour. Emballage d'origine Isamu NOGUCHI, Edition Akari pour la galerie Steph Simon, vers 1960 Estimation basse: 300€ Estimation haute: 500€
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Galerie Steph Simon Baker
De toutes les oeuvres de Charlotte Perriand, ce fauteuil dit « Chamrousse » est notre préféré. Les premiers modèles de ce chef-d'œuvre ont été conçus dans les années 1930. Ensuite, différents éditeurs se sont chargés de le produire et de le vendre, dont la galerie Steph Simon (où notre fauteuil a été racheté par ses anciens propriétaires dans les années 1950). L'inspiration pour cette pièce est venue à Perriand de ses expériences dans la campagne française et de son contact avec le mobilier paysan. Notre exemplaire est en très bon état, seule la paille au dos a vu les griffes d'un chat un peu joueur. On peut bien sûr s'occuper de le changer, mais on a voulu l'exposer dans son état d'origine Dimensions: H78, 5 x L55, 5 x P60 cm vendu Merci. Vous serez tenu au courrant de toutes les nouveautés sur notre catalogue. ↑ ABONNEMENT NEWSLETTER
Galerie Steph Simon Laplace
Publié le 23/02/2007 à 06:00, Mis à jour le 15/10/2007 à 05:21 La Galerie Down Town a acquis les archives de Steph Simon qui diffusa, dans les années 50, le nec plus ultra du design. En tête, Perriand et Prouvé. C'est écrit sur les murs. En inaugurant l'exposition Steph Simon à la Galerie Down Town, François Laffanour officialise l'achat des archives du galeriste. Tout en plongeant le visiteur dans l'une des belles aventures artistiques de l'après-guerre. Steph Simon, qui collabora dès 1949 avec les ateliers Jean Prouvé, fut novateur et téméraire à plus d'un titre. C'est grâce à un acte de bravoure qu'en 1956, il eut les moyens d'ouvrir sa galerie au 145 boulevard Saint-Germain: blessé en barrant la fuite d'un voleur, il toucha une somme d'argent salutaire. Dans l'ère de la reconstruction, les architectes avaient eu un rôle de premier plan. Le mobilier moderniste était alors soutenu par des salons comme celui des Arts ménagers, ainsi que par la presse spécialisée, mais peu de galeries avaient pris le parti de le diffuser.
Galerie Steph Simon Tripnaux
73 in. l 6. 7 in. Ensemble de six appliques CP-1 de Charlotte Perriand Par Steph Simon, Charlotte Perriand Appliques murales avec abat-jour rotatif de Charlotte Perriand. En bon état d'origine avec une usure mine... 3 in. Créateurs similaires à Steph Simon
Galerie Steph Simón Bolívar
En 1974, Steph Simon, alors septuagénaire, revendra sa galerie à Henri Machet, l'un de ses collaborateurs aujourd'hui disparu. C'est à lui que François Laffanour a acheté les précieuses archives qui comprennent sept cents plans, trois cents photos, des factures, des bons de commande, des projets. Avec l'intention d'en établir le catalogue raisonné. En attendant, le marchand expose ici des pièces emblématiques des cinq créateurs (dont certaines ont figuré au vernissage de 1956), étayées par de nombreux documents. L'élégance sans une ride. Galerie Down Town, 33, rue de Seine, 75006 Paris (01. 46. 33. 82. 41). Jusqu'au 31 mars. La morale de l'histoire. L'achat d'archives donne-t-il l'autorisation de rééditer des pièces? «Non. D'une part, les contrats sont épuisés et seuls les ayants droit peuvent donner leur accord. De plus, ce n'est pas une démarche qui m'intéresse. Ce mobilier a été conçu à une époque précise et doit en garder la trace. Les rééditions, qu'elles concernent le XVIII ou le XXe, ont un je-ne-sais-quoi de figé.
Mais le concept qu'institua ce médiateur avisé allait bien au-delà. Il créa dans son espace un bureau d'études chargé de concevoir des aménagements intérieurs à la fois privés et industriels. Jean Prouvé et Charlotte Perriand, en tête, assurèrent la direction artistique de la galerie; ils s'engagèrent à créer dix modèles standard par an et à les adapter au gré des commandes. D'où certaines pièces rarissimes. «Les tables standard rectangulaires en frêne de Charlotte Perriand se vendaient comme des petits pains alors que les tables de forme libre teintées noir, par exemple, étaient réservées à une clientèle plus confidentielle. » Au côté du mobilier de Perriand et Prouvé, figuraient les luminaires de Serge Mouille, les céramiques de Georges Jouve et les lanternes en papier d'Isamu Noguchi… Toujours d'actualité. Puis vinrent les années 70 et la traversée du désert. En 1974, Steph Simon, alors septuagénaire, revendra sa galerie à Henri Machet, l'un de ses collaborateurs aujourd'hui disparu.